Insolite (et autres bizarreries sans importance)

dav-ID a écrit:

Hugo, par exemple, a raté son bac à 9,65/20. Sa mère a fait le choix de contacter un avocat. "C'est de l'injustice, je suis déçu parce que ça nous arrive à nous", dénonce Hugo.

Qu'ils sont cons...

C'est quand même pas la mer à boire de rater son bac. Il y a plusieurs raisons à cela : où le gosse a complètement foiré les épreuves parce qu'il ne maîtrisait pas le sujet, soit c'est un gros branleur qui n'a rien foutu de l'année ou alors, c'est un neuneu et il vaudrait mieux qu'il aille apprendre un métier parce que, visiblement, les études intellectuelles c'est pas fait pour lui.

Quoiqu'il en soit, c'est pas une fin en soi de ne pas avoir son bac. Il y a plein de personnalités qui ont réussi sans avoir le bac. Par contre, c'est sûr que s'il envisageait de s'inscrire dans une prépa d'ingénieurs l'année prochaine, là c'est plutôt mal barré...

Citation :

Franky Zapata, "l'homme volant", va retenter la traversée de la Manche cette semaine

"Il ne veut pas rester sur un échec. Il retente dès cette fin de semaine. Soit vendredi, soit samedi, soit dimanche. Ce sera en fonction de la météo", a déclaré sa chargée de communication.

"Franky est prêt". "Il a passé tout le week-end à Marseille à réparer son matériel" électronique, endommagé lorsque "l'homme volant" est tombé dans la mer, dans les eaux anglaises, après avoir heurté la plateforme du bateau où il devait se ravitailler en kérosène.

Il a raison. Il ne faut jamais rester sur un échec.

Apprendre de ses erreurs, voir là où ça a merdé et recommencer. Recommencer toujours. Jusqu'à la perfection, jusqu'à décrocher la victoire.

C'est comme cela qu'on obtient le succès, à force d'acharnement et d'efforts.

dav-ID a écrit:

Cet oiseau est vraiment génial...

Tu l'aimerais encore plus quand il m'arrache mon eyeliner des mains pour le jeter par terre ou qu'il lèche mon blush directement sur mes joues. Cet animal est en train de diriger totalement ma vie  

Warlock a écrit:

J'ai bien peur qu'Hugo soit con, c'est bien la le problème et le drame de sa vie.

 J'en arrivais exactement à la même conclusion.

Sans blague, un avocat pour une note ratée au bac ? Les parents ont vraiment de l'argent en trop, c'est pas possible. Et d'un autre côté ça ne m'étonne pas. Aujourd'hui la plupart des enfants sont des enfants-trésors (pire encore que les enfants-rois, l'enfant-trésor est celui qui non seulement fait la loi, mais est en plus élevé dans de la soie bio et du cristal de Baccarrat pour ne pas qu'il se blesse/se salisse/abîme ses vêtements, parce qu'il a été longuement désiré par des parents qui voient en lui un petit miracle).

Pour mon dernier poste j'ai eu des maternelles (un triple niveau TPS-PS-MS, avec donc 34 "élèves" de 2 à 4 ans). Un matin, un papa très remonté vient me voir dans la cour, sa gamine (une vraie peste, enfant-trésor par excellence, 3 ans, méchante et orgueilleuse avec ses camarades, capricieuse et précieuse au quotidien, en pleine période du "non", des colères et de l'opposition) par la main, et m'aborde sans un bonjour, sans une politesse, en me prenant de haut.
"C'est intolérable, Léna tape !"
Je le regarde, un sourcil en l'air, perplexe. Effectivement, sa gamine avait la merveilleuse habitude de frapper allègrement ses camarades, comportement dont j'avais averti la maman des semaines plus tôt. Je lui rappelle donc que j'ai déjà fait un signalement à son épouse. Le mec se rengorge d'indignation, coq dressé sur ses ergots, et me balance en pleine figure :
"Ça ne peut venir que de l'école, on ne tape pas à la maison !"
Je rétorque très sérieusement qu'effectivement, elle l'a sans doute appris en cours de distribution de baffes, que je dispense tous les mardis. Mon ATSEM commençait à sangloter de rire dans sa tasse de café.
Le mec voit au bout d'une dizaine de secondes que je me fous de sa gueule, et me demande ce que je compte faire pour remédier au problème.
Sur ce, la gamine, qui voulait aller jouer, et se tortillait pour que son père la lâche, lui balance un coup de pied bien senti dans le tibia. Réaction du père :
"Oh pardon ma chérie, tu voulais aller jouer et vilain papa discute, pardon mon cœur".
Et de la couvrir de bisous.
Mon ATSEM a frôlé l'apoplexie.

Et après le coup de pieds, il est reparti comme un con et en boitant j'espere ?

Albatur a écrit:

Et après le coup de pieds, il est reparti comme un con et en boitant j'espere ?

Bien sûr que non. Tu penses bien que cette andouille est resté campé sur ses positions, persuadé que c'était à l'école que sa gamine apprenait à taper (alors que c'était simplement une très mauvaise gestion de la frustration, qu'elle n'avait JAMAIS expérimentée à la maison. Forcément quand tu passes 3 ans de ta vie à être traitée comme le nombril du monde, avec des sujets pour satisfaire tes moindres désirs dans la seconde, jamais aucun refus ni aucune limite, l'arrivée à l'école, avec 35 autres gosses et des adultes qui n'ont pas que ça à faire que de se plier à tes quatre volontés, ça fait un drôle d'effet ...).

Voilà pourquoi je suis souvent exaspéré quand je voyage en train, je me tape toujours ce genre de famille avec au moins un gosse qui fout la merde, chiale ou emmerde ses frères ou sœurs, la mère qui rame ou sort des phrases un peu comme celle du père de ton exemple ("pauvre loulou, il est un peu excité, tu veux une glace mon trésor ?")
Non!!! c'est plutôt une claque qu'il lui faudrait, ou plutôt trois : une pour le père une pour la mère et une pour l'affreux môme.

Ou elle ne fait rien pour calmer son chiard et le père qui fait comme si de rien n'était en regardant par la fenêtre ou en tapotant sur son smartphone.

Je ne suis pas sûre qu'une claque ou crier soit bien utile (crier pour apprendre à son enfant à ne pas crier, c'est un poil con-con à mon humble avis. C'est comme si le jour où je voulais lui apprendre à ne pas renverser sa soupe je lui collais mon bol sur la tête) mais la discipline manque cruellement. On peut très bien éduquer un enfant sans violence mais avec beaucoup de fermeté. Mais il faut leur apprendre la frustration, et beaucoup de parents sont frileux à cette idée, stupidement. Or c'est une composante essentielle du développement.

Yavanna a écrit:

Tu l'aimerais encore plus quand il m'arrache mon eyeliner des mains pour le jeter par terre ou qu'il lèche mon blush directement sur mes joues. Cet animal est en train de diriger totalement ma vie  

XPDRRRRRRRRRRRRR...

Yavanna a écrit:

Je le regarde, un sourcil en l'air, perplexe.

Ta grande spécialité ça, tel Teal'c  "Indeed !"...


Bah le père c'est un père carpette, serviette, l'enfant est roi, l'enfant est divin. Au bout du compte le gamin se transforme en petit monstre, sans limites, ni barrières, alors quand il devient adulte c'est la cata. Pas étonnant que le monde tourne à l'envers.

Warlock a écrit:

Bah le père c'est un père carpette, serviette, l'enfant est roi, l'enfant est divin. Au bout du compte le gamin se transforme en petit monstre, sans limites, ni barrières, alors quand il devient adulte c'est la cata. Pas étonnant que le monde tourne à l'envers.

Ma cousine a failli tomber dans ce piège, étant petit c'était drôle le gamin faisait connerie sur connerie, il faisait tout et n'importe quoi.
Mais en grandissant c'était plus la même car les conneries grandissait tout comme lui. Heureusement ils ont redressé la barre (ca n'a pas été simple au début) et aujourd'hui c'est nickel. Il est calme et posé, bosse super bien dans la restauration et vu son talent, s'il s'en donne la peine je suis sûr qu'il pourrait ouvrir son propre resto dans quelques années.

Warlock a écrit:

Au bout du compte le gamin se transforme en petit monstre, sans limites, ni barrières, alors quand il devient adulte c'est la cata. Pas étonnant que le monde tourne à l'envers.

Même pas besoin d'attendre l'âge adulte, tu as le cap merveilleux de ... l'adolescence (malédiction). Ayant bossé dans un collège, je peux te dire que c'est loin d'être du gâteau maintenant, à 12 ans déjà tu en as qui deviennent trèèèès difficile à gérer et qui font n'importe quoi avec des parents complètement découragés qui ont totalement baissé les bras.

Yavanna a écrit:

Même pas besoin d'attendre l'âge adulte, tu as le cap merveilleux de ... l'adolescence (malédiction). Ayant bossé dans un collège, je peux te dire que c'est loin d'être du gâteau maintenant, à 12 ans déjà tu en as qui deviennent trèèèès difficile à gérer et qui font n'importe quoi avec des parents complètement découragés qui ont totalement baissé les bras.

Pour le moment le notre reste calme (pour combien de temps ?)

Albatur a écrit:

Pour le moment le notre reste calme (pour combien de temps ?)

La crise d'ado n'est pas une règle absolue, certains passent ce cap très sereinement et sans faire n'importe quoi. Encore une fois c'est une question d'éducation (en général, la crise se produit dans les extrêmes, au sein d'une éducation trop laxiste, ou au contraire trop sévère. Etant donné que l'idée c'est de définir des limites, l'ado est tenté de les redéfinir à sa sauce quand il n'y en a pas, ou quand il y en a trop. Le truc c'est de trouver le juste équilibre) (ou de faire comme ma mère et de cultiver son enfant dans la terreur )

Yavanna a écrit:

Albatur a écrit:

Pour le moment le notre reste calme (pour combien de temps ?)

La crise d'ado n'est pas une règle absolue, certains passent ce cap très sereinement et sans faire n'importe quoi.

Je confirme.

Durant l'adolescence,j'étais le mec le plus détesté parce que j'étais quelqu'un de normal là où les merdeux de mon âge faisaient leur crise et emmerdaient le monde.

Moi aussi j'étais calme, avec un peu de chance mon fils sera comme moi. ^^

J'ai du essayer de faire une crise d'ado pendant trois minutes, puis je me suis rappelé que ma mère était l'équivalent in real life de Mère Gothel, mais que malgré mon mètre vingt de tignasse j'étais très loin d'être Raiponce. Du coup, j'ai renoncé.

J'ai beau réfléchir, je ne me souviens pas avoir fait une crise d'adolescence...et pourtant, je n'étais pas un enfant facile et j'ai eu un parcours très chaotique...comme quoi...

Remarque par la suite, je n'ai jamais eu aucune crise, ni lors de mes 20 ans, ni lors de mes 30 ans et en avril quand j'ai eu 40 ans, je me suis réveiller normalement et ça ne m'a rien fait du tout...

Personnellement ce sont mes 25 ans qui m'ont fait drôle. Les 30 sont passés comme une lettre à la poste, mais les 25 ... Bon, j'étais dans une phase assez moche de ma vie, coincée dans un boulot que je détestais et dont j'avais peur de partir, abîmée par une rupture très dure émotionnellement (parce que sans point final proprement dit), je me sentais totalement perdue, sans prise sur ma vie, et la perspective de l'avenir, de la vie "d'adulte", m'angoissait profondément car je ne me sentais absolument pas à la hauteur.

Donc plutôt une crise des 25 (des 24 et demi plus exactement, puisque cet été-là globalement j'ai fait n'importe quoi) mais heureusement ça n'a pas duré. Et je n'ai ennuyé personne, finalement, seulement moi-même.

Yavanna a écrit:

(parce que sans point final proprement dit)

Ça je reconnais, que c'est pas évident, surtout quand ça se termine justement...sans point final à la fin...

Spéciale dédicace à mon ex qui m'a lâché il y a un poil plus de 10 ans (mai 2009), sans préavis, comme ça, du jour au lendemain c'était terminé...10 ans plus tard je n'ai toujours eu aucune explication, vu que ça a été silence radio aussi bien pour elle que pour son entourage (mais quand je dis silence radio, c'est silence complet...Houston on a un problème, Gary ne répond plus )...

J'ai fais mon deuil depuis, mais je dois avouer que c'est pas évident...même si avec le recul ça va mieux (quoi que j'y pense encore de temps en temps)...

Pourquoi...??...là est la question, même si je pense ne jamais avoir la réponse à cette question...

dav-ID a écrit:

Spéciale dédicace à mon ex qui m'a lâché il y a un poil plus de 10 ans (mai 2009), sans préavis, comme ça, du jour au lendemain c'était terminé...10 ans plus tard je n'ai toujours eu aucune explication, vu que ça a été silence radio aussi bien pour elle que pour son entourage

C'est sans doute le plus atroce parce que justement ne pas comprendre pourquoi, ça empêche de tourner la page, de se reconstruire et de passer à autre chose. On a besoin de savoir ce qui a cloché, pour apprendre de nos erreurs, pour se remettre en question, pour accepter qu'on n'était plus sur la même longueur d'ondes ... sans explication, comment faire le deuil complet et sain d'une relation ? Le sentiment peut mourir, oui, mais il est important de comprendre pour l'accepter.

De mon côté ce n'était pas la même chose, mais là où les choses ont été difficiles c'est qu'on a rompu (j'ai rompu pour être exacte) à cause de la distance. On vivait déjà loin l'un de l'autre (lui à Paris, moi dans mon Auvergne) et il a obtenu un poste à Glasgow. Il l'aurait refusé si je lui avait demandé mais je n'en ai pas eu le courage. J'avais 24 ans, je venais d'obtenir mon concours de prof des écoles et un poste intéressant, lui en avait 34, galérait dans un établissement inintéressant depuis 7 ans, j'ai eu peur d'être un frein pour lui, et j'ai préféré m'effacer. Et je n'avais pas le courage de me lancer dans une relation à si grande distance (je vivais assez mal déjà le fait qu'il soit parti à Paris, alors Glasgow ...). Mais là où il n'y a pas eu de point final, c'est que je ne l'ai pas quitté parce que je ne l'aimais plus, bien au contraire. Son départ a été abominable, j'ai du le pousser à partir, et couper totalement les ponts pour espérer avancer sans vivre dans un regret perpétuel. Encore aujourd'hui, même si depuis je suis passée à autre chose, je ne peux pas m'empêcher de temps en temps de me demander si j'ai fait le bon choix, ce que ma vie aurait été si je l'avais retenu, si j'étais partie avec lui comme il me l'avait demandé, ou si j'avais essayé la relation à distance. Mais bon, ce qui est fait est fait.

Yavanna a écrit:

C'est sans doute le plus atroce parce que justement ne pas comprendre pourquoi, ça empêche de tourner la page, de se reconstruire et de passer à autre chose.

Ça a été vraiment très violent, surtout que notre histoire a durée grosso merdo un peut plus de 2 ans 1/2...je l'avais rencontré via un forum de japanimation (animes japonais et mangas), ça a pas mal collé (nous discutions pendant des plombes le soir via messanger, pour ceux qui s'en souviennent ^^ )...il y avait bien la barrière de la distance, moi j'habite à Istres, elle était du côté de Caen, mais ça ne nous à pas empêchés de nous voir plusieurs fois (et puis dans la famille, on est abonnés aux compagnes/compagnons qui habitent à distance lol...mon frère sa copine vient des Ardennes...pour mon autre frère, elle habite à côté de Paris)...

C'est même en partie grâce à elle que j'ai pu surmonter cette opération du cœur, une épreuve très difficile où je suis passé par tellement de phases, que j'ai failli perdre pied plus d'une fois...

Nous nous entendions très bien, nous avions des projets en tête, des tas de projets...et puis un jour, plus rien, silence radio complet, aussi bien par téléphone que sur le net...du jour au lendemain, plus rien...j'avais déjà vu ses parents, son frère, etc...mais même eux, ne m'ont jamais rien dit sur ce qu'il y avait eu...j'ai même songé plusieurs fois au pire (accident ou autre)...

C'est difficile d'oublié complètement et de faire son deuil, la cicatrice ne se refermera jamais complètement...j'ai encore des tas de lettres, des photos, des objets, que je conserve enfermé dans une boite dans un tiroir de mon bureau, je n'ai jamais eu le cœur de les jeter...

Nan je ne pleure pas, c'est juste une poussière dans l’œil...

dav-ID a écrit:

et puis un jour, plus rien, silence radio complet, aussi bien par téléphone que sur le net...du jour au lendemain, plus rien...

Cette pratique porte un nom hélas, ça s'appelle le ghosting. Une de mes amies en a été victime (mais au tout début d'une relation, donc j'imagine que cela a été moins difficile pour elle que pour toi) et c'est vraiment abominable. Je ne peux que compatir même si je ne peux qu'imaginer à quel point cela a du être douloureux.
L'ignorance et l'incompréhension, c'est le pire pour clore une relation.

Cela dit, le ghosting n'est que rarement du à ce que le "ghosté" aurait fait ou dit, mais trouve sa source le plus souvent dans un trouble du comportement chez le "ghosteur" (certains y voient même une forme de sociopathie pouvant toucher au sadisme que l'on retrouve notamment souvent chez les pervers narcissiques). Je sais que ça ne changera probablement pas grand chose à ta peine, mais sache en tous cas que ce n'est sans doute pas de ta faute. Et même si tu avais fait quelque chose de mal, rien ne justifie qu'elle te traite de cette façon. C'est cruel, inhumain, et dénué de toute forme de respect et de confiance, qui sont les deux piliers de toute relation humaine. Tu mérites bien mieux que cela.

Oui, tu as sans doute raison...on aura eu quand même des bons moments même si elle n'était peut être pas si clean que ça au fond, enfin, ça je n'en saurais rien...et c'est probablement bien mieux comme ça...

Peut être à cause de ça que j'ai du mal à faire confiance aux femmes et à songer à trouver quelqu'un, préférant la tranquilité du célibat...^^

dav-ID a écrit:

Peut être à cause de ça que j'ai du mal à faire confiance aux femmes et à songer à trouver quelqu'un, préférant la tranquilité du célibat...^^

C'est bien compréhensible. Mais attention de ne pas passer à côté d'une relation épanouissante par crainte de réitérer une mauvaise expérience. Le célibat c'est sympa, mais le couple, c'est chouette aussi quand ça se passe bien (et ça arrive plus souvent qu'on ne le croit, heureusement !)

Yavanna a écrit:

mais le couple, c'est chouette aussi quand ça se passe bien (et ça arrive plus souvent qu'on ne le croit, heureusement !)

Quand je vois le paquet de gens qui finissent par divorcer dans mon entourage (le dernier c'est un pote du taff...14 ans avec une femme, 3 enfants, mariage en septembre 2018, une nouvelle maison, divorce cette année)...ça donne envie lol... #doute...

Oulà je ne parlais pas de mariage. Vu mon background, c'est quelque chose qui ne m'attire pas du tout et je n'y crois pas forcément (pas plus en tous cas qu'au fait qu'une seule personne nous soit destinée, je trouve au contraire l'idée abominable, angoissante et terrifiante). Je parlais simplement de faire un bout de chemin avec quelqu'un avec qui les choses se passent bien. Sans parler de se jurer un amour éternel et infini. On n'est pas dans un Disney