Ils nous ont quittés ...

Je ne sais si ca ete mentionner ailleurs, Tony Scott, le frere de Ridley, s'est jeter en bas d'un pont aujourdhui. Ca n'etait pas un grand realisateur, beaucoup de ses films etaient mediocres, voire mauvais, mais il avait quand meme realiser quelques films que j'apprecie. The hunger est excellent et Je demeurerai toujours nostalgique chaque fois que je vois Top Gun, pas exactement un bon film, mais je revait d'etre pilote de chasse quand j'etais enfant et j'ai vu ce film tellement de fois. Je retient aussi the last boyscout avec BRuce willis. Un film d'action pas tres raffine mais avec de bonnes repliques.

Enfin c'est une facon assez tragique de terminer sa vie.... je me demande si cetait une depression ou un truc comme une maladie (cancer en phase terminale?) Je suppose que le temps nous dira....

RIP Tony Scott

paix a son âme quelle tragédie mourir par un suicide!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Il était producteur avec son frêre Ridley de la série Numbers, entre autre...

effectivement , le dernier samaritain était une tres bonne série B
un "sous" piege de cristal très sympatique

RIP Mr Scott

Il surveillera l'oeuvre de son frangin de là-haut...

Le bon Tuco du bon la brute et le truand s'est éteint hier à l'âge de 98 ans. Un bel âge me direz-vous mais je me devais de lui rendre un petit hommage ici.
Sa carrière est jalonnée de (très) bons films tels que les sept mercenaires, le bon la brute et le truand ou le parrain 3 pour ne citer que ceux-là ; une gueule inoubliable et un acteur ayant tourné jusqu'à 90 balais.
Repose en paix truand, repose en paix.

RIP Eli, inoubliable dans le bon la brute et le truand...

RIP Eli, et merci pour tout !

Il y a encore quelque semaines, je me délectais de son apparition dans The Ghost Writer lors de sa diffusion sur une chaine publique, tandis qu'il y a quelques années j'avais déja été impressionné par sa performance dans Wall Street 2 en 2010 (on peut vraiment parler de performance : ses apparitions sont parmi les moment les plus mémorables du film!).

Un acteur incroyablement charismatique sur l'ensemble de sa carrière... pour l'occasion, je vais me faire quelques classiques que je n'ai encore jamais vu.

Désolé poto j'avais pas vu ton lien !   

Bon beh deux hommages valent mieux que pas du tout

En effet... mais un tel monstre "rollistique " méritait bien sa rubrique consacrée !   

J'invite chacun à apporter ici des éléments de jeu ou anecdotes d'écriture inspirés par Eli Wallach (on attends pour le moment le ldvelh adapté de la trilogie des "Dollar" et que certains ont proposés sur rdv1 il y a déja belles lurettes).

sunkmanitu a écrit:

Désolé poto j'avais pas vu ton lien !   

Bon beh deux hommages valent mieux que pas du tout

Dans le bon la brute et le truand je trouve qu'il a vraiment la gueule de l'emploi.

Personnellement, ce qui m'a saisi dans "LBLB&LT" dés la première occasion que j'ai eu de le voir, encore enfant, c'est l'incroyable sensibilité qui émane de ce "truand", qui, au delà de l'apparence qui le rapproche à plusieurs occasions, plus d'une bête que d'un homme, se trouve être fréquemment touchant et "humain" dans le sens positif du terme. Le "Bon", en comparaison, est incroyablement lisse et plat (ce qui donne toute la saveur de l'hypocrisie de ce titre, où, finalement, personne n'est celui qu'il devrait être).

Je rappelle pour mémoire :
- la scène de la bataille du pont où, derrière l'intérêt affiché de vouloir franchir la rivière à tout prix, Tuco participe à secourir les blessés sur le terrain et finalement sauver un nombre incalculable de vies en mettant fin à une bataille inutile (au péril de sa propre vie)
- Le "courage" de Tuco par ses bravades ouvertes face au sous-officier borgne dans le camp Nordiste (là où tout le monde baisse les yeux, il n'hésite pas à payer de son sang).
- la scène de torture par la "Brute" et son sous-off, où malgré la douleur, le "héroique" Tuco ne veut rien lâcher. Le Bon s'en sort miraculeusement indemne, sans coup férir, laissant une fois de plus au spectateur un sentiment de d'injustice entre les deux personnages
- L'amitié, voire la tendresse parfois inattendue de Tuco pour "Blondin" (le surnom est déja de l'ordre de l'affectif), derrière des apparences de sans foi ni loi : sa confiance (trahie) dans leur subterfuge commun dés le début du film, le zèle pour sauver finalement son allié de la mort après la séquence de torture dans le désert (même s'il y a officiellement un intérêt pécuniaire), ou encore l'extraordinaire complicité (trahie une fois de plus) sur les scènes dans le cimetière et qui débouche sur une alliance implicite contre la "Brute" (une alliance que rien ne le laisse pourtant présager).
- La scène finale au bout de la corde dans le cimetière, où, tiraillé entre sa peur de la mort et son désir pour "son or", le personnage se livre à une scène poignante où la joie et la souffrance alternent sur son visage... apothéose du film !

Rappellons d'ailleurs le titre original de ce film : "THE GOOD, THE BAD & THE UGLY", soit : "LE BON, LE MECHANT ET L'AFFREUX" ... la notion de "truand" n'étant finalement due qu'à une erreur de traduction ! En attendant le jour où les traducteurs apprendront à respecter l'oeuvre originelle qu'ils traduisent ... (ça ne vous rappelle rien ?   )

Lutin Jaune a écrit:

[...]
Le "Bon", en comparaison, est incroyablement lisse et plat (ce qui donne toute la saveur de l'hypocrisie de ce titre, où, finalement, personne n'est celui qu'il devrait être).
[...]

RIP. Il a été extraordinaire dans ce rôle.

Sinon ce film je ne le vois pas du tout comme le vois Lutin Jaune.

L'affreux est un truand. Et l'aspect comique du film n'est surtout pas à négliger.

Tuco est impitoyable , ce qui le rend touchant et attachant c'est la scène au monastère avec son frère où l'on en apprend plus sur sa vie difficile. L'association avec blondin que ce soit au début ou à la fin n'est que circonstancielle. Et c'est ce qui la rend hilarante.

D'ailleurs à Sad Hill blondin ne lui fait aucune confiance , il s'agissait de savoir vers qui la haine de Tuco était la plus forte. Et c'était vers Sentenza.

N'oublions pas que si ils ne rencontrent pas le soldat dans le désert Blondin filait vers une mort certaine , une mort infligée par torture sous le soleil en plein désert et par ...Tuco. On a connu meilleure amitié.

Le revirement de Tuco est à mourir de rire et rend ce film unique.

Tuco n'est pas dénué de talent et de courage et comme le dit Blondin"Je vais enfin pouvoir dormir tranquille car je sais que mon pire ennemi veille sur moi"

@Karandas

Je ne pense pas que nos interprétations soient si différentes... il faut simplement différencier l'acteur du personnage (il est vrai que mon discours était ambigu puisqu'il mêlait les deux).

Plus haut, j'évoquais les qualités de l'acteur à travers l'interprétation du personnage de Tuco. Or, je suis persuadé qu'une grande partie du scénario a été influencé par les jeux d'acteur, et ma première raison de le croire est que Sergio Leone a reconnu il y a longtemps qu'il écrivait la mise en scène après que la musique de Ennio Morricone lui aitaie été livrée (et non le contraire, qui reste le plus courant, même aujourd'hui), quitte à modifier l'ordre de l'action (et donc partiellement le scénario). Pour moi, il serait difficile d'imaginer qu'aucune remise en question du même genre n'ait été également suggérée par le jeu des acteurs. Eli Wallach a joué à plusieurs reprises des rôles de "brute au cœur tendre", ce qui est, AMHA, lié à sa propre personnalité et a influé sur le personnage de l'Affreux. Ceci au delà du script originel du film qui ne précisait probablement pas tout les "détails" qui font le charme de chacun des films de Leone.

En revanche, il est vrai que lorsque je parle plus haut de "torture dans le désert", j'entends que pour moi, comme dans la vraie vie (hélas), la "torture" au cinéma n'a, en général, pas pour finalité de tuer. Rappelons, qu'à ce moment du film, Tuco se venge du "Bon", qui a bien été le premier à le trahir en le livrant au +l'abandonnant dans le désert, à la merci du+ Shériff et en empochant l'ensemble du butin qu'ils avaient récoltés ensemble par leur subterfuge. Pour moi, la vengeance de Tuco n'a jamais été inappropriée, la référence à un "Bon" dans le titre n'étant qu'une ironie liéequi participe à l'effet comique du film. Pour moi, c'est cette "remise à zéro" des compteurs qui amorce la seconde partie du film. Toute amitié ou camaraderie ne peut elle pas exister uniquement par l'équilibre (ou l'apparence d'équilibre) entre les belligérants ? Tout déséquilibre rompt l'amitié.

Ceci dit, j'adhère a tes autres remarques et anecdotes sur le film.

Karandas Nadostan a écrit:

RIP. Il a été extraordinaire dans ce rôle.

Sinon ce film je ne le vois pas du tout comme le vois Lutin Jaune.

L'affreux est un truand. Et l'aspect comique du film n'est surtout pas à négliger.

Tuco est impitoyable , ce qui le rend touchant et attachant c'est la scène au monastère avec son frère où l'on en apprend plus sur sa vie difficile.  L'association avec blondin que ce soit au début ou à la fin n'est que circonstancielle. Et c'est ce qui la rend hilarante.

D'ailleurs à Sad Hill blondin ne lui fait aucune confiance , il s'agissait de savoir vers qui la haine de Tuco était la plus forte. Et c'était vers Sentenza.

N'oublions pas que si ils ne rencontrent pas le soldat dans le désert Blondin filait vers une mort certaine , une mort infligée par torture sous le soleil en plein désert et par ...Tuco. On a connu meilleure amitié.

Le revirement de Tuco est à mourir de rire et rend ce film unique.

Tuco n'est pas dénué de talent et de courage et comme le dit Blondin"Je vais enfin pouvoir dormir tranquille car je sais que mon pire ennemi veille sur moi"

EDIT: correction d'orthographe : je suis toujours une plaie sur les subjonctifs  

Je dois avouer que je n'ai jamais regardé ce film en entier. Vos différents avis sur la performance d'acteur d'Eli Wallach me poussent donc à réparer cela.

en fait on encore des acteurs avec des gueules pareilles?

Acteur aussi fort dans le comique que dans le tragique, il s'est éteint la nuit dernière à l'âge de 63 ans. Il laisse derrière lui des rôles emblématiques, dans des films dont la variété démontre son immense talent : Mrs Doubtfire, le cercle des poètes disparus, Will Hunting (pour lequel il reçut un oscar du meilleur second rôle), Good morning Vietnam, Fisher king, Insomnia, Hook... C'était surtout un type très attachant, dont on aurait aimé être l'ami. Un grand clown triste, qui a vraiment marqué mon enfance.

Repose en paix !   

Insomnia quoi ! Nolan, Pacino et Williams.

RIP Robin

Oui, triste nouvelle, acteur, entre autres, de l'excellent Jumanji. RIP ROBIN.

Un grand acteur effectivement, excellent dans Mrs Doubtfire dont une suite était prévue je crois, on le reverra a l'écran dans la nuit au musé 3 en février 2015.
Une grande perte pour le cinéma.

Je l'avais adoré dans le cercle des poètes disparus et dans Ms Doubfire !   

Quelle triste nouvelle.

J'avais pleuré au Cercle des Poètes Disparus et l'avait adoré dans "Le Monde selon Garp".

Une grande perte.

Les apparences sont trompeuses : derrière le type jovial, rieur et sympathique, il y avait un homme dépressif, hanté par ses démons et habité d'un profond mal de vivre... On le voyait toujours souriant, détendu et affable, alors on pensait qu'il était comme ça dans la vie.
Triste...