Le Topic des Aventuriers-Explorateurs

C'est beau mais c'est trop chaud pour moi!!

Ce qui m'a marqué, c'est la soif de vivre des habitants. A BEYROUTH, malgré les tensions, la suspicion, les quartiers en chantier permanent, les gens sortent, vivent, s'amusent. Bon, c'est vrai, le soleil et la mer, ça aide, et la population est jeune, mais il y a une véritable énergie, une vitalité incroyable.
BAALBECK, franchement, pour le fou d'Antiquité gréco-romaine que je suis, c'est l'extase.

> Magnifiques photos, très beau pays et grande civilisation.

Et puis, la plaine de la Bekaa, c'est pas là qu'il y a le meilleur shit de tout le Proche-Orient ? Du pur libanais... humm...

> Spécial Liban ...

Le bâtiment est de style Art nouveau, construit entre 1912 et 1918 par Armin Hegedus, Artur Sebesteny et Izidor Stark.

La Place Venceslas à Prague :





Hommage à Jan PALACH et à toutes les victimes de cette saloperie qu'on appelait "communisme" :

Les bains GELLERT sont à voir surtout à l'intérieur, avec leur décor assez kitsch, mais finalement trés agréable.











Touristique à mort, mais incontournable. J'y ai passé un moment agréable, surtout que c'était l'hiver lors de mon séjour et qu'il faisait vraiment froid dehors. Bien sûr, hors de question de me mêler aux fous qui utilisent le bassin extérieur en pareille saison !

Etape touristique incontournable à Venise, le Café FLORIAN :





Situé sous les arcades de la place Saint-Marc, classé monument historique, il date de 1720 !
L'intérieur est d'époque, surtout au niveau des boiseries et des peintures :







Comme on peut s'en douter, l'endroit est pris d'assaut durant le Carnaval, des groupes de personnes déguisées venant s'y installer et se faisant photographier par les touristes. L'endroit donne l'impression d'une bonbonnière, d'une petite boîte feutrée, décorée et douillette, cachée sous les arcades de la place. L'endroit est trés calme, on y parle à voix basse, dans le tintement de la porcelaine et de l'argenterie. Trés classe : j'avais commandé un martini rouge et un serveur en gants blancs me l'a amené sur un plateau d'argent, avec chips, olives et quantité d'amuse-gueule disposés dans de petits récipients décorés. Sans oublier le petit livret de cuir aux armes du lieu, dans lequel on dépose discrètement la note avant de le poser sur votre table...

Voyageur Solitaire a écrit:

j'avais commandé un martini rouge et un serveur en gants blancs me l'a amené sur un plateau d'argent, avec chips, olives et quantité d'amuse-gueule disposés dans de petits récipients décorés. Sans oublier le petit livret de cuir aux armes du lieu, dans lequel on dépose discrètement la note avant de le poser sur votre table...

> Je vois qu'on a les mêmes plaisirs quand on voyage... 8)

Mais moi je m'étais plutôt laissé séduire par les charmes du Prosecco. Venise, c'est la classe, l'élégance, le luxe avec juste une pointe d'extravagance. Mais rien d'ostentatoire. J'ai beaucoup aimé.

J'espère que tu n'as pas oublié de visiter le musée Correr. C'est le musée de l'histoire de la ville. Il y a une salle où sont exposées sur les murs toutes les cartes des marchands vénitiens du XVIe au XVIIIe siècle. Je me suis vraiment régalé à les lire.

Effectivement, je l'ai visité. Mais lors de ce séjour, il faisait un temps magnifique et j'ai passé le plus de temps possible dehors, boudant un peu les musées.
Pour en revenir aux cafés célèbres, il faut mentionner le "rival" romain du Florian, le café Greco à Rome :





Sans être aussi ancien que le Florian, il a quand-même vu passer GOETHE, WAGNER, STENDHAL, BERLIOZ, LISZT...

Et pour revenir à Budapest (ville que j'aime beaucoup), au sortir du bain, étape obligatoire, le café Gerbaud :







Une institution. Tout simplement divin... Laissez-vous tenter par le chocolat chaud le plus onctueux et velouté qui soit, accompagné de pâtisseries à se tirer des balles... Même moi qui carbure au thé et qui ne suis pas du tout pâtisseries, j'ai trouvé ça à tomber. Essayez le "Palinka", tarte au chocolat et à l'alcool d'abricot. Bon, c'est touristique à mort et certains disent qu'il y a mieux, mais j'ai vraiment apprécié.

Voyageur Solitaire a écrit:

Effectivement, je l'ai visité. Mais lors de ce séjour, il faisait un temps magnifique et j'ai passé le plus de temps possible dehors, boudant un peu les musées.

> Moi même s'il fait beau dehors, je passe toujours au moins une journée au musée quand je suis en séjour dans une ville. En France comme dans le reste de l'Europe.

En fait j'effectue mes visites d'une ville en trois étapes :

1 - Je consulte le plan avant le départ, je fais un repérage du centre historique. J'essaie de comprendre le "pourquoi" d'une telle cité : sa localisation, la forme de son plan, comment est-elle structurée, etc. On apprend beaucoup sur une ville rien qu'en regardant son plan.

2 - Sur place, je parcours les rues. Le plan dans une main, l'appareil photo dans l'autre. De temps en temps, je m'arrête et je prends quelques notes. J'aime beaucoup les détails. J'essaie de saisir l'âme d'une ville sur le terrain et de me repasser le film des époques disparues dans ma tête. J'écoute les murs parler.

3 - Je visite enfin le musée local. Pour en savoir plus sur la ville, son passé, son histoire. Si je peux, j'essaie de me rendre aussi à la bibliothèque pour voir si je ne peux pas consulter deux ou trois archives qui m'intéressent.

Voilà, c'est à cela que je passe mes vacances. Et c'est pourquoi je vise toujours des séjours dans une ville. Je profite de mes temps libres pour partir à la découverte des villes européennes d'une manière assez studieuse. J'adore ça.

Citation :

Sans être aussi ancien que le Florian, il a quand-même vu passer GOETHE, WAGNER, STENDHAL, BERLIOZ, LISZT...

> Oui, je connais le café Greco à Rome. Malheureusement, je n'ai pas eu le temps de m'y arrêter. Mais je connais, bien sur, son passé et le nom de toutes les figures des arts et des lettres qui s'y sont succédé.

Il faut dire qu'à Rome, il y a beaucoup de choses à voir. C'est une ville très complexe à saisir et comprendre. Là aussi, j'ai pris quelques notes sur Rome. Mais j'ai éprouvé quelques difficultés à trouver un fil conducteur tant les périodes se chevauchent et s'entrecroisent.

Très difficile à faire parler Rome.

C'est ça qui est excitant... Pour ma part, tout dépend de là où je vais et si c'est la première fois ou non. Des villes comme Rome, Venise, Prague, Budapest ou Istanbul, villes que je connais bien maintenant, j'évite les coins touristiques, je marche, je vais un peu au hasard, je m'imprègne de l'atmosphère...
Pour les musées, la première fois, je me contente des incontournables. Par la suite, lorsque je reviens, c'est en fonction de mes goûts personnels.
Autrement, je procède toujours de la même manière : j'étudie longuement dans ma chambre d'hôtel le guide et le plan, je mémorise les stations de métro, l'itinéraire, et je sors sans rien... Jamais d'appareil photo, pas de sac. Juste mes papiers et de l'argent. Hors de question de me ballader un guide ou une carte à la main. Comme j'ai une trés bonne mémoire, en général, il n'y a pas de problème. Comme ça, j'ai l'impression d'être un natif de la ville, pas un touriste. Comme le type qui sort de chez lui pour aller se ballader dans sa ville. Bon, il y a des fois où je me suis paumé, je l'avoue.
Pour certaines destinations, c'est spécial. A TOKYO, j'ai découvert qu'il était trés difficile de trouver des gens parlant anglais et le labyrinthe du métro est cauchemardesque... C'est l'un des endroits où j'ai flippé, où je me suis vraiment paumé et senti perdu. J'ai eu le bol de trouver un commissariat de quartier. Bien sûr, personne ne parlait anglais, mais j'avais la carte de mon hôtel que j'ai montré et ils m'ont finalement apellé un taxi. Bon, c'est vrai, TOKYO est une ville trés sûre et les japonais trés prévenants et obligeants. Mais bon...
Par contre, pour mes voyages "nature" (parcs nationaux, randonnées et safaris-photo), c'est trés organisé, avec guide professionnel et jamais seul.

Voyageur Solitaire a écrit:

Jamais d'appareil photo, pas de sac. Juste mes papiers et de l'argent. Hors de question de me ballader un guide ou une carte à la main. Comme j'ai une trés bonne mémoire, en général, il n'y a pas de problème. Comme ça, j'ai l'impression d'être un natif de la ville, pas un touriste. Comme le type qui sort de chez lui pour aller se ballader dans sa ville. Bon, il y a des fois où je me suis paumé, je l'avoue.

> C'est toi qui vois. Chacun fait comme il le sent das ce domaine, il n'y a pas de règle.

Moi j'avoue que je me sens plus à l'aise avec mon carnet de notes dans une poche intérieure de mon blouson et mon appareil-photo compact dans l'autre. Je me balade aussi comme un natif de la ville mais je ne peux pas m'empêcher de photographier tous les quinze pas chaque fois que je repère un détail qui m'attire ou une vue qui me plait bien.

Sur les ponts, par exemple, je mitraille à tout va. J'aime bien faire des prises de vue comprenant le cours d'eau, un élément du pont et la ville en arrière-plan avec un monument particulier.

Mais généralement, je tourne et retourne dans les rues, en essayant de comprendre comment et pourquoi elles ont été tracées, d'imaginer où se trouvaient les remparts, comment s'agencent les places, etc. je m'intéresse beaucoup à l'urbanisme, en vérité. Et aussi à la statuaire. Les noms de rue également ont ma préférence. Après j'essaie de faire des recherches pour savoir qui est ce personnage qui a donné son nom à une rue et qu'est-ce qui représente dans l'histoire locale.

Citation :

Par contre, pour mes voyages "nature" (parcs nationaux, randonnées et safaris-photo), c'est trés organisé, avec guide professionnel et jamais seul.

> Pareil. C'est trop dangereux de partir seul vers ces destinations "sauvages".

> Promenons-nous du côté de la Schmerlingplatz, à Vienne, juste en face du Volksgarten.

C'est ici que se trouve le Parlement autrichien :



L'édifice, de style antique grec, a été construit entre 1873 et 1883 sur les plans de l'architecte Theophil Hansen. Le Conseil du Reich de la monarchie austro-hongroise y siégea jusqu'en 1918. Aujourd'hui, il est le siège du Conseil National et du Conseil Fédéral de la République autrichienne.

La statue que l'on peut admirer devant est l’œuvre du sculpteur Karl Kundmann. Elle représente la Sagesse (Pallas Athéna) entourées de deux figures allégoriques symbolisant la législation et l'administration. A ses pieds, les quatre fleuves de l'ancien Empire : le Danube, l'Inn, l'Elbe et la Moldavie.

Les dimensions imposantes de la Hofburg témoignent de la puissance et de la richesse de l'Empire autrichien par le passé.

Elle est le symbole de plus de 600 ans de règne des Habsbourg. Une deuxième aile identique à la première devait fermer la place des Héros et ainsi achever un projet d'urbanisme monumental : avec les musées de l'autre côté du Ring, le palais des Congrès et le Conseil du Reich, cela aurait donné naissance à un vrai "forum impérial" qui aurait fait de Vienne la "nouvelle Rome".

Mais la Première guerre mondiale empêchera la réalisation de ce projet.

Aujourd'hui, la Hofbourg reste malgré tout lié au pouvoir puisque c'est dans l'aile Léopold que se trouve le siège de la présidence de la république autrichienne.

Gorak a écrit:

La statue que l'on peut admirer devant est l’œuvre du sculpteur Karl Kundmann. Elle représente la Sagesse (Pallas Athéna) entourées de deux figures allégoriques symbolisant la législation et l'administration. A ses pieds, les quatre fleuves de l'ancien Empire : le Danube, l'Inn, l'Elbe et la Moldavie.

La Moldau (ou Vltava) ?

> En fait, je pense que ça doit être la Moldau.

> Malte : les fameuses falaises d'Azure Window vues depuis la mer ...

> De nombreux architectes occidentaux concoururent à l'édification des principaux monuments et à l'ordonnance architecturale, tant au XVIIIe qu'au XIXe siècle : la célèbre perspective Nevski est due à l'architecte français Leblond, la cathédrale Pierre-et-Paul et le monastère de Saint-Alexandre-Nevski au Suisse Trezini.

Gorak a écrit:

Que faire, que voir à Saint-Petersbourg ?

Escapade sur les bords de la Baltique

Bravo !

Tu es le deuxième sur ce forum à être allé en Russie !

> La construction de cette église remonte à l'année 1713, lorsque l'Empereur Charles VI entreprit de faire réaliser cet édifice afin de remercier son saint patron, Saint-Charles Borromée, d'avoir fait cesser l'épidémie de peste qui dévastait Vienne.

C'est l'architecte Johann Bernhard Fischer von Erlach qui fut chargé d'en concevoir les premiers plans mais la phase finale de l'oeuvre fut exécutée par son fils, Joseph Emmanuel, qui la compléta en 1739.

On remarque nettement une influence greco-romaine, mais aussi française et italienne. La coupole fait 72 mètres de haut. Les arcades évoquent le style des temples antiques. Le fronton, quant à lui, est flanqué de deux colonnes triomphales, semblables à la Colonne Trajane que l'on peut trouver à Rome, avec tout autour des sculptures qui racontent la vie de Charles Borromée.


A l'intérieur, la fresque de la coupole représente la "Gloire de Saint-Charles Borromée" de Rottmayr.

Le maître-autel est l'oeuvre de von Erlach.


Depuis 1738, cette église est confiée à l'Ordre des Kreuzherren (Chevaliers de la Sainte-Croix).

Bonjour à tous,

J'espère que vous allez bien et que vous avez passé un bel été.

Je vous propose de relater mon voyage dans l'empire du milieu, en plusieurs livraisons.

Je pourrai ainsi partager mes réflexions sur ce pays de contraste.

Les Tribulations d'un Chinois en Chine, Episode 1.

Le voyage s'est extrêmement bien déroulé, du début à la fin et j'ai tant de choses à vous dire que je ne sais pas par quoi commencer.

Déjà, je n'ai jamais aussi bien mangé de ma vie. Je ne sais pas si je pourrais retourner dans ce que l'on appelle improprement un restaurant chinois en France, tant ils sont différents et infiniment meilleurs là-bas. Il y a des fruits et légumes inconnus ici, qui n'ont même pas de traductions en français.
Déjà il n'y a pas d'entrées, de plats et de desserts. On mange dans des pièces individuelles, avec une grande table ronde centrale, avec une plaque en verre ronde, tournante, sur laquelle une dizaine d'assiettes sont disposées, puis une dizaine sera apportée au cours du repas: on dirait Noël à chaque repas. Les viandes sont apportées, les poissons disposés, ainsi que tous les légumes, les fruits, les pâtes, le riz, les vermicelles, les légumineuses, les gelées de fruits, les brochettes de légumes et de viandes, plus tout ce qui est flambé (tout se flambe), les différents types de tofu et de soja plus tout le reste. Presque tout est apporté cuit à la poelle, dans l'eau ou flambé. Chaque déjeuner et chaque dîner est un festin.
Quand nous étions à Beijing et à Xi'An nous allions au restaurant prendre le petit déjeuner et là des soupes de riz nous étaient servies, accompagnées d'oeufs et de légumes cuisinés de différentes façons.

Le pays est tellement différent de l'image que nous en avons de France. Quel pays pourrait n'avoir que du négatif ou que du positif? Songez que le pays est plus grand que l'Europe toute entière. Songez aux disparités géographiques simplement à l'intérieur la France et maintenant imaginez les disparités dans un pays aussi grand. Après y avoir passé trois semaines en famille, j'ai compris que les médias ne donnent à voir qu'une petite fraction de la réalité d'un pays beaucoup complexe qu'il n'y paraît. Tout est neuf, tout est propre, tout est riche, tout est moderne, tout est immense et démesuré: le pays est pensé et conçu pour un milliard et demi de personnes. Depuis quinze ans, la Chine a incroyablement changé, mais dans le sens où les conditions se sont AMELIORéES, d'après mes beaux-parents, les cousins, les cousines, les oncles, les tantes et les amis de la famille. Quand je dis qu'il a changé, c'est que pour les gens du peuple, ils ont vu leurs salaires être multipliés (réellement multipliés) et le prix de la vie rester extrêmement bas. Si l'on gagne 150 euros par mois et que le restaurant coûte 4 euros ou si l'on gagne 1500 euros et que le restaurant coûte 40 euros, le rapport reste le même. Maintenant, quand le restaurant coûte 4 euros et qu'avant on gagnait 150 mais que l'on gagne 300, puis, 400, puis 1000, puis 1500, puis 3000 euros par mois, la vie change. Le premier soir de notre arrivée, mes beaux-parents ont tenu à nous acheter des baskets neuves, ils nous ont pris le même modèle pour que nous soyons assortis. Des flynikt lunar neuves, faîtes sur place, à 40 Yuan. Pour avoir le prix en euros ... diviser par 7 !!! Des chaussures que j'aurais acheté 120 euros ici: pour avoir le prix en francs, multiplier par 6,50. Pour des gens qui ont un emploi, la vie ne coûte rien: nous allions au restaurant deux à trois fois par jour, et je n'ai vu que des voitures neuves!!! Pas une seule voiture de deux ans. Les gens avec un emploi sont (quasi) tous propriétaires et dans ma famille, ils font tous construire des villas, à la sortie des villes. Les logements sont beaucoup plus grands qu'ici: sur les annonces immobilières, sur les immeubles, les surfaces pour les immeubles vont de 100 m2, à 200 m2, 400 m2. Les villes sont construites à l'américaines: des gratte-ciels et les rues sont à angle-droit. Si l'on se met au croisement des grandes avenues, sur des kilomètres devant, derrière, à droite, à gauche, on voit des gratte-ciels. Le pays entier est un chantier en construction: il n'y a que des immeubles neufs et que des immeubles neufs en construction. Il y a des chantiers de construction partout !!! Nous sommes allés manger chez la collègue de travail de ma belle-mère: en arrivant j'ai cru que c'était une petite usine. En réalité, ils ont fait construire une maison sur 4 étages avec plus de 400 mètres carrés par niveau, plus le toit, avec du terrain tout autour !!!
Même Jilin, petite ville très au nord, s'est transformée. Les Chinois, dans leur majorité, bien entendu, ont vu leur pouvoir d'achat s'envoler et ils consomment énormément.

Partout les gens sont polis, accueillants, respectueux et bien élevés. Je ne me suis jamais autant senti en sécurité. Dans un autre message je vous parlerai des conditions de sécurité puis des transports.

Merci pour ce premier opus, très instructif.

Des amis proches ont voyagé en Chine et notamment à Pékin, et en effet ils avaient été surpris par la modernité de la ville, ses gens polis, courtois, serviables, ainsi que par la propreté de la ville.
Par contre au niveau des points négatifs, une fois éloigné de Pekin et un court séjour dans la campagne environnante ben c'était des habitants qui vivaient dans la pauvreté absolue.
Ils ont pu remarquer les différences de vie entre les habitants des grandes villes comme Pékin avec un luxe assez apparent, et les habitants des campagnes dans un grand dénuement. C'était assez marquant pour eux.