"Je déteste quand..."

Donald S a écrit:

Ça me fait suer les long weekend de mai.
Pas vous?

Depuis que je suis à mon compte et que je travaille depuis chez moi, je ne sais même plus quel jour on est, alors j'avoue que je ne vois pas la différence. Jours féries, week-ends, vacances ? Connaît pas. Et comme ma vie sociale est aussi fournie que le PIB de la Somalie, ça ne change pas grand chose (d'ailleurs faudrait que je me fasse violence de ce côté-là, je suis en train de glisser lentement mais sûrement sur la pente de la vieille fille aux chats)(j'ai pas encore de chat, mais ça ne saurait tarder)

Par contre j'ai un bad monstrueux à l'idée de l'arrivée de l'été, je supporte de plus en plus mal cette saison et j'ai très mal vécu le dernier. Vivre dans le noir pendant 6 mois parce qu'il fait 35 degrés dehors, ça me colle un de ces bourdons, c'est monstrueux (je fais une dépression estivale, quelle joie)
Et puis dès que tu ouvres une fenêtre, la "musique" à fond et les odeurs horribles de barbecue des voisins, ça me donne envie de me pendre.
Si je pouvais sauter directement au mois d'octobre, je bondirais avec l'ardeur d'un dendrobate électrifié.

EliseVdbrc a écrit:

Je suis à un poste où nous avons des échéances bien précises à chaque jour de la semaine. Et donc, le lundi férié nous pénalise pas mal car on doit tout faire sur le mardi qui est déjà une des journées les plus importantes de la semaine. Et bien sûr, une semaine de férié ça demande aussi de la préparation côté production, avec une journée en moins pour caler des choses, pas simple avec les contraintes d’exploitation.

Ah oui ça c'est clairement rageant. C'est des cadeaux empoisonnés les jours fériés dans ces cas-là, du coup au lieu de te reposer, tu anticipes le rush de la reprise, et tu vis dans le stress.
Quand je donnais des cours particuliers c'était un peu le même principe, les gens prenaient leur jour de congé, mais il fallait rattraper les cours qui avaient sauté ce jour-là, du coup je savais que j'allais avoir une semaine blindée derrière.

Vieille fille a chat?meuh non...
Puis tse quoi,des fois vaut mieux être seul que mal accompagné...
Je plussoie concernant l arrivée de l été ...
Je suis pourtant d un tempérament plutôt solaire ,mais a vieillir ,cette saison m angoisse de plus en plus.
A y réfléchir,c est plus ce qui se rattache a cette saison(barbeuc,plages saturées de monde,odeur d aisselles qui sentent la soupe a l oignon ,tube de l été de merde)que la saison en elle même qui me gave...
Juste serrer les fesses et les dents en attendant l automne.

Donald S a écrit:

Vieille fille a chat?meuh non...
Puis tse quoi,des fois vaut mieux être seul que mal accompagné...

Aaaaah ça oui, je suis tellement d'accord (et bien placée pour le savoir XD)
Mais bon, des fois, j'aime bien parler à autre chose qu'à Geneviève (mon Spathiphyllum). Pour ça que j'envisage de me prendre un chat.
Un chat, c'est mignon, c'est chaud, ça perd des poils, ça te réclame à bouffer, des câlins quand il veut, ça te traîte comme sa boniche, ça vadrouille la nuit on ne sait où, ça dort beaucoup, ça fouille dans ton sac, ça te regarde avec des grands yeux innocents trop attendrissants, ça comprend pas bien le "non", ça tue les mouches et les araignées, bref, un chat, un mec, même combat, mais le chat, tu peux le faire stériliser légalement.

Donald S a écrit:

Je plussoie concernant l arrivée de l été ...
Je suis pourtant d un tempérament plutôt solaire ,mais a vieillir ,cette saison m angoisse de plus en plus.
A y réfléchir,c est plus ce qui se rattache a cette saison(barbeuc,plages saturées de monde,odeur d aisselles qui sentent la soupe a l oignon ,tube de l été de merde)que la saison en elle même qui me gave...
Juste serrer les fesses et les dents en attendant l automne.

Mais tellement. Je suis exactement dans le même cas (sauf que j'ai toujours détesté l'été, mais en vieillissant c'est de pire en pire)
Je sais pas, l'ambiance estivale me déprime et m'angoisse. Ce sentiment que tu DOIS aller bien, être heureux(se), faire la fête, êrte de bonne humeur, alors que tu as juste envie d'envoyer tout le monde faire la sieste sur l'autoroute, les jours qui n'en finissent pas, les gens trop contents, la musique naze, la nourriture naze, les activités naze, beurk beurk beurk.
Et puis les canicules, quand tu es asthmatique et que tu te coltines une maladie auto-immune qui pète un cable dès que la température dépasse 25°, c'est le bonheur (là ça commence déjà, deux jours à 27 chez moi, je suis en PLS)(et en plus j'ai la grippe, achevez-moi)(oui, je me plains, je suis malade et saoûlée, j'ai le droit)

Seul truc bien, les fruits et légumes. Je survis chaque été uniquement à la pensée de me faire péter le bide de concombre et de figues fraîches. Mais c'est moyen comme raison de vivre.

Tu m as bien fait rire concernant le parallèle chat /mec...
Ils sont pas tous comme ça ,t en as qui se comportent comme de sacrés clebards ,des qu ils voient leur nana...
Et qui ont renoncé a leur amour propre du coup...
Je trouve que c est devenu hyper moche les rapports hommes /femmes de toute façon.
Sinon concernant l été ,hormis aller s isoler au fin fond du Groenland ,je vois pas trop comment se prémunir de cette saison maudite.
Rester chez soi...cool au frais ..boire un bière fraîche devant la saison 29 de the walking dead.

Pour moi, la période estivale a toujours été une saison que je n’apprécie pas non plus particulièrement. D’autant plus avec les canicules qui se répètent et continueront à se répéter de plus en plus. J’ai pourtant grandi sur la Côte d’Azur, et j’ai été habituée à la chaleur. Mais plus le temps passe et moins je la supporte, j’avais d’ailleurs fait une belle insolation il y’a deux ans, malgré mes précautions.
Puis l’été pour moi c’était souvent le monde partout, quand j’étais gamine. Donc avec mes parents on partait dans le nord voir la famille, où les grands espaces, les nuits fraîches et la verdure étaient mon paradis. Ce qui est encore le cas aujourd’hui quand je prends des vacances d’ailleurs…
Ce que j’apprécie par contre durant cette saison, c’est les journées plus longues. J’aime partir au travail et prendre mon train vers 6h30 sous la lumière, et pareil le soir. Ça me motive un peu plus on va dire…

Donald S a écrit:

Tu m as bien fait rire concernant le parallèle chat /mec...
Ils sont pas tous comme ça ,t en as qui se comportent comme de sacrés clebards ,des qu ils  voient leur nana...
Et qui ont renoncé a leur amour propre du coup...
Je trouve que c est devenu hyper moche les rapports hommes /femmes de toute façon.

Heureusement il y a encore des gens gentils, mais faut les dénicher disons (et parfois même les gentils sont décevants quand la routine s'installe, c'est ce qui s'est passé pour moi)

Donald S a écrit:

Sinon concernant l été ,hormis aller s isoler au fin fond du Groenland ,je vois pas trop comment se prémunir de cette saison maudite.
Rester chez soi...cool au frais ..boire un bière fraîche devant la saison 29 de the walking dead.

Les îles Feroe. 900 h de soleil par AN.
Le bonheur.
Dommage qu'ils bouffent autant de poissons, sinon j'aurais déjà planifié mon expat et planifié ma nouvelle vie de vieille fille à moutons (il y en a plus que d'habitants, le bonheur, des Gary partouuuuut)

EliseVdbrc a écrit:

Pour moi, la période estivale a toujours été une saison que je n’apprécie pas non plus particulièrement. D’autant plus avec les canicules qui se répètent et continueront à se répéter de plus en plus.

J'ai encore un souvenir ému de mon bac en 2003, et des pauses qu'on prenait allongés à plat ventre sur le carrelage des escaliers pour essayer de se rafraîchir tellement on crevait de chaud. J'avais eu le malheur de poser le bras sur ma copie de littérature, j'étais tellement humide de sueur que tout mon texte s'était transféré sur ma peau, j'ai du demander une feuille propre pour tout recopier en catastrophe pendant les 10 dernières minutes.

Mais l'an dernier, c'était atroce aussi, chez moi il a fait 35° de début Mai à fin Octobre, quel enfer. J'ai passé les "vacances" les plus pourries de ma vie je crois, dans un mobilhome qui montait allègrement à 45° en journée, obligée de travailler le matin et le soir parce que je ne pouvais pas prendre autant de congé, le tout en me prenant les réflexions de mon ex qui n'avait pas intégré, malgré de longues discussions préalables, que moi, contrairement à lui, je n'étais techniquement pas en vacances. Il était obligé de passer ses matinées tout seul à la piscine, pauvre bête. Alors que moi je m'amusais tellement pendant ce temps-là à retracer l'histoire du paganisme dans la Germanie antique assise sur une chaise en plastique sous une tonnelle elle aussi en plastique (effet de serre bonjour) par 40° dans un camping de vacanciers.
Plus jamais

C est tentant les îles Féroé...mais c est petit...même pas sûre que je  remplisse les critères d immigration

A t entendre parler ,le centre de la gaule ressemble au centre de l enfer🥵

J'ai pas de jours fériés perso...en bossant en postes (2 matin, 2 après-midi, 2 nuits, 4 jours de repos), je suis en total décalage avec ceux qui bossent à la semaine...donc c'est kif kif...j'ai des week-end qui tombent en semaine, je bosse pendant un jour férié (l'avantage c'est qu'on voit pas les chefs), etc...de temps en temps, ça arrive que je sois en repos vendredi, samedi, dimanche, lundi, comme c'est le cas en ce moment...donc là oui, je peux dire, je suis en week-end...


Après en ce qui concerne la chaleur...l'été est une période que je déteste le plus, un peut paradoxal, pour quelqu'un qui habite le 13 pas loin de la mer...où les étés ça tape pas mal... même si le fait de vivre pas loin de la mer, on a toujours un air marin pour rafraichir...contrairement à ceux qui vivent dans les terres, où c'est un four à ciel ouvert...sans oublier le taff, je bosse dans une aciérie, alors niveau chaleur, l'été c'est horrible...

Je suis pas fan du soleil qui se lève tôt (gonflant quand tu rentres du taff à 5h, que tu te couche avec la fenêtre ouverte et la porte pour pas avoir chaud...et que tu as la lumière du jour très rapidement... )...sans compter tout le reste, les restrictions d’accès aux massifs à cause des incendies, les incendies qui défigurent la région (et pas que la région), les mouches, les moustiques ( ), les araignées qui rentrent chez moi parce que les vitres sont ouvertes, les gens qui mettent le bordel dehors, la raie des fesses qui fait gouttière à force de suer, etc...même si pour le bruit énervants des gens, j'ai une arme radicale, les bouchons dans les oreilles...je préfère le silence et le claquement régulier de ma valve cardiaque, que d'entendre les bruits de mes semblables si énervants (et ne parlons pas de leurs rejetons)... ^^

Rien que de savoir que c'est bientôt juin, puis juillet et aout, j'en ai des frissons... vivement octobre comme tu dis...

Donald S a écrit:

Je trouve que c est devenu hyper moche les rapports hommes /femmes de toute façon.

C'est pas devenu, ça a toujours été le cas, et ça depuis toujours...les hommes sont au dessus, ce sont les meilleurs et ils commandent...les femmes sont des merdes, elles sont en dessous, elles obéissent et elles ferment leurs gueules...et c'est malheureusement, pas demain la veille que ça changera...

Donc ouais, prendre un chat est une excellente option, plutôt que de se farcir un boulet qui te prendra pour sa boniche pondeuse...

Le chat, il s'en bat les couilles de ta face, il fait ronron, il demande des câlins quand ça lui fait plaisir, il met le bordel chez toi mais comme il est trop mignon, ben tu dis rien...il complote dans ton dos pour te tuer en douce et prépare des plans pour dominer la race humaine avec ses semblables, etc...donc ouais, un chat, pourquoi pas...

Un chat ça chie et ça bouffe  
Ça vie sa vie sans se soucier si t es bien ou pas.,.
Ça se pose pas de questions...
C est con et égoïste un chat  ...un peu comme nous en fait
Et pour info,la saloperie humaine concerne autant les hommes que les femmes.
La dessus,je suis assez égalitaire.

Donald S a écrit:

A t entendre parler ,le centre de la gaule ressemble au centre de l enfer🥵

Un peu, je suis dans une cuvette, donc il fait souvent très chaud et étouffant l'été chez moi. C'est vite insupportable et irrespirable, la région est connue pour ça, dans le coin on l'appelle le cauchemar des asthmatiques XD

dav-ID a écrit:

les mouches, les moustiques ( ), les araignées qui rentrent chez moi parce que les vitres sont ouvertes, les gens qui mettent le bordel dehors, la raie des fesses qui fait gouttière à force de suer, etc...même si pour le bruit énervants des gens, j'ai une arme radicale, les bouchons dans les oreilles...je préfère le silence et le claquement régulier de ma valve cardiaque, que d'entendre les bruits de mes semblables si énervants (et ne parlons pas de leurs rejetons)... ^^

Rien que de savoir que c'est bientôt juin, puis juillet et aout, j'en ai des frissons... vivement octobre comme tu dis...

Je me suis acheté des moustiquaires cette année, je vais les poser dimanche après le concert, normalement ça devrait m'épargner quelques désagréments (ma soeur en a mis partout chez elle, c'est génial, elle peut dormir les fenêtres ouvertes sans se soucier des moustiques, et j'avoue que j'espère aussi que ça restreindra les araignées, parce que tous les étés j'ai systématiquement, tous les soirs, une énorme tégénaire dans ma chambre. Jusque là c'était mon ex qui s'en chargeait, mais là il va bien falloir faire face à mon destin et m'en charger moi-même, et honnêtement je le sens pas donc avec un peu de bol la moustiquaire résoudra une partie du problème. Sinon je pars de chez moi en courant après avoir foutu le feu)

Pour le bruit heureusement mes horribles voisins qui faisaient la fiesta tout l'été jusqu'à 3h du matin sont partis l'automne dernier, j'espère juste que ceux qui ont pris leur place ne sont pas leur version 2.0 (bon déjà ils sont mal partis, il font griller des sardines au barbeuc deux fois par jour, la première vers 9h du mat, je suis déjà lassée)

Mais pareil, quand je vois les températures qui remontent à mort et le calendrier qui s'approche dangereusement de Juin, j'ai envie de chialer. Rendez-moi la pluie, la grisaille et les matins frisquets, pitié.

dav-ID a écrit:

C'est pas devenu, ça a toujours été le cas, et ça depuis toujours...les hommes sont au dessus, ce sont les meilleurs et ils commandent...les femmes sont des merdes, elles sont en dessous, elles obéissent et elles ferment leurs gueules...et c'est malheureusement, pas demain la veille que ça changera...

Donc ouais, prendre un chat est une excellente option, plutôt que de se farcir un boulet qui te prendra pour sa boniche pondeuse...

Le chat, il s'en bat les couilles de ta face, il fait ronron, il demande des câlins quand ça lui fait plaisir, il met le bordel chez toi mais comme il est trop mignon, ben tu dis rien...il complote dans ton dos pour te tuer en douce et prépare des plans pour dominer la race humaine avec ses semblables, etc...donc ouais, un chat, pourquoi pas...

Malheureusement c'est vrai que c'est un schéma fréquent. Après, pas toujours. J'ai pas eu énormément de relations dans ma vie, mais je n'ai jamais été avec un connard qui a cherché à me réduire à l'état de boniche (il aurait pas fait long feu, le boug), j'ai eu la "chance" (entre guillemets parce que ça devrait être normal, pas une chance) de tomber sur des mecs gentils et respectueux, jamais des machos toxiques (en même temps c'est normal, je suis pas du tout attirée par ce genre de personne).
Mes ruptures ont été motivées par d'autres raisons (déménagements, changements de vie, routine, lassitude, belle-famille ...) mais j'ai toujours gardé des rapports cordiaux voire amicaux avec mes exs, et j'en garde pas non plus une amertume de dingue qui me donne envie d'aller vivre au fond des bois.
Donc bon, je me dis qu'il y a sans doute encore quelque part un mec sympa qui attend gentiment que je lui mette le grappin dessus

(bon, j'ai bien essayé avec le bassiste d'Eisbrecher, mais ce fut un échec, tristesse )

Mais en attendant, un chat, ça me tente bien, d'autant plus que Balthazar et Rodrigo (nos oiseaux) partent avec mon ex, vu qu'ils l'aiment beaucoup plus que moi. Donc une petite présence de plus dans la maison, ça peut être sympa.

Donald S a écrit:

Un chat ça chie et ça bouffe  
Ça vie sa vie sans se soucier si t es bien ou pas.,.
Ça se pose pas de questions...
C est con et égoïste un chat  ...un peu comme nous en fait
Et pour info,la saloperie humaine concerne autant les hommes que les femmes.
La dessus,je suis assez égalitaire.

Alors ça par contre, c'est pas totalement vrai.
Une de mes amies a un chat qui vient systématiquement se blottir contre elle dès qu'elle ne va pas bien, que ce soit physique ou émotionnel. Et comme Tara (le chat) me connaissait un peu, une fois que j'avais craqué chez mon amie et que je m'étais mise à pleurer, elle était venue se frotter contre moi et ne m'avait plus lâchée, comme pour me consoler, c'était trop mignon. Les chats sont plus empathes qu'on ne croit, c'est juste qu'ils ont un comportement moins évident que les chiens.
Et ils sont loin d'être cons. Comme tous les animaux d'ailleurs (homme inclus), si tu les laisses dans un environnement sans stimulation, alors certes ils ne se dévelepperont pas intellectuellement, mais si tu leur offres un environnement riche et stimulant, des interactions sociales, des contatcs, ils pourront se développer beaucoup plus largement.
Tout le monde dit par exemple que les poules c'est con, moi j'en ai eu deux à qui j'avais appris à répondre à leurs noms, à me suivre, à ne pas toucher à certaines plantes du jardin, à venir au pied et à me sauter dans les bras.
Là celles que j'ai en ce moment je n'ai pas eu le temps de m'en occuper, et du coup, elles sont hyper distantes, mais ça ne vient pas d'elles, c'est à cause de moi. Aucun animal n'est fondamentalement con, il n'y a que des situations épanouissantes ou non.

Yavanna a écrit:

Donald S a écrit:

A t entendre parler ,le centre de la gaule ressemble au centre de l enfer🥵

Un peu, je suis dans une cuvette, donc il fait souvent très chaud et étouffant l'été chez moi. C'est vite insupportable et irrespirable, la région est connue pour ça, dans le coin on l'appelle le cauchemar des asthmatiques XD

Pas besoin d'aller dans le centre de la gaule...habitant le 13, à quelques km à vol d'oiseau de la mer (on peut même la voir de mon balcon...un petit bout au loin, entre 2 branches d'arbre, en montant sur un escabeau...si un jour je vend mon appart, je pourrais marque "vue mer"     )...

Enfin bref, dans le coin, il y a toujours un air marin qui se lève dans la journée, c'est vraiment agréable et ça aide pas mal à refroidir...surtout le soir...même si le problème de laisser les vitres ouvertes le soir, les moustiques...moi aussi je songe à acheter des moustiquaires, mais j'ai pas beaucoup d'espace, entre la vitre et le volet roulant...du coup, je sais pas trop où je pourrais installer ça...    

Par contre, quand je fais quelques km vers l'intérieur des terres, là où il n'y a pas les effets de l'air marin, oui, ça commence à chauffer...quand ça m'arrive d'aller voir ma tante avec mes parents, qui habite du côté de Salon de Provence, ou une autre qui habite un peut plus au nord du département (Charleval), c'est un véritable four car il n'y a pas d'air...

Citation :

tous les étés j'ai systématiquement, tous les soirs, une énorme tégénaire dans ma chambre. Jusque là c'était mon ex qui s'en chargeait, mais là il va bien falloir faire face à mon destin et m'en charger moi-même, et honnêtement je le sens pas   donc avec un peu de bol la moustiquaire résoudra une partie du problème. Sinon je pars de chez moi en courant après avoir foutu le feu)

    Je suis compassion...je me rappelle encore la maison de ma grand-mère, à l'époque où elle était encore vivante et que nous y allions...en pleine campagne, au milieu des champs...sa maison était pleine de ces bestioles...il y en avait de partout...cauchemar...

Citation :

(bon déjà ils sont mal partis, il font griller des sardines au barbeuc deux fois par jour, la première vers 9h du mat, je suis déjà lassée)

         

Citation :

Donc bon, je me dis qu'il y a sans doute encore quelque part un mec sympa qui attend gentiment que je lui mette le grappin dessus  

Oui, c'est certain qu'il ne faut pas faire des généralités...pas tout les hommes, sont des gros machos qui pensent que les femmes ne servent à rien, à part obéir, faire les taches ingrates, les enfants, etc...

Mais c'est aussi valable pour l'inverse, toutes les femmes ne sont pas des anges, certaines sont de véritables pestes et elles sont bien pires que les mecs...

Après, je peux pas trop parler des relations hommes/femmes, mes histoires se compte sur une paire de doigts...parce qu'au final, je préfère de très loin, le calme et la tranquillité du célibat...


Ouais, prendre un chat est une excellent option...si un jour je devais en prendre un, ce serait un chat (pas un chien, car j'aime pas les chiens)...

Dommage pour Balthazar et Rodrigo (Rodrigo... )...

Je persiste à dire que des fois , mieux vaut être seulque mal accompagné.
Actuellement,je suis empêtré dans une relation amoureuse qui me fait plus de mal que de bien.
Des fois ,j en viens a regretter ma situation de célibataire.
Dur,dur...

Un animal domestique, surtout si tu l'as dès le début, il est comment tu l'as élevé. Le chien et le chat sont souvent des éponges, ils se comportent souvent comme leur maître/maîtresse.
Le problème du chien, c'est de le sortir. J'en vois l'hiver, en partant au boulot à 06h00, en bas de l'immeuble, en robe de chambre et pantoufles, la cigarette qui se consume toute seule, en train de se peler les couilles pendant qu'au bout de la laisse, Médor gambade, renifle et s'éclate... "Bonjour David, bonne journéeeeee... Et toi, dépêche-toi de chier, ça caille..."
Donc là, c'est clair : NON. Mon chat, je peux le laisser un weekend de trois jours, s'il a à bouffer et boire et que sa litière est propre, il bouge pas.
Après, quand tu prends un animal, tu t'engages et t'acceptes les contraintes aussi, faut pas l'oublier.

Histoire d'avoir l'esprit de contradiction, tout le monde sait ici que je suis du signe du chameau ascendant lézard et que j'adore la chaleur (même si, depuis bien des années, je ne m'expose plus).
J'aime la chaleur, la lumière surtout, pouvoir dormir fenêtres ouvertes, se balader en slip ou à poil à la maison, juste enfiler un T-shirt, un short et des tongs (que j'envoie valser dès que je suis assis) pour t'habiller. J'aime la campagne par un été brûlant, quand tout baigne dans le silence et une lumière dorée, quand t'es allongé à l'heure de la sieste dans la pénombre bleue, engourdi, avec juste le bruit des insectes... Un été brûlant dans les Cyclades, entre le bleu du ciel et de la mer, dans une maison blanche ou dans le sud de l'Italie, dans une campagne silencieuse baignée d'une odeur de terre sèche, de sel et de miel tiède.
Je déteste le froid, l'obscurité, les tonnes de vêtements enfilés, quand il fait nuit à 16h30, quand t'es en éclairage artificiel du matin au soir... Je me contracte, je frissonne, je me replie sur moi-même. Le froid, l'obscurité, c'est la tristesse, c'est la mort. Je veux mourir au soleil, en pleine lumière, sous un ciel d'un bleu éclatant, m'endormir et m'enfoncer doucement dans le sable chaud, si doux, si enveloppant...

Après ce moment de lyrisme, je confirme pour avoir séjourné en Afrique que la moustiquaire est l'arme imparable contre ces bestioles. Surtout là-bas où les moustiques ont le format bombardier lourd avec une seringue en guise de dard.
Pour en revenir à la chaleur, je précise que si je supporte chaleur sèche et canicule sans problème, je déteste la chaleur humide, tropicale, poisseuse. Là non, c'est l'enfer, t'as le T-shirt et les draps qui te collent à la peau, tu prends une douche et 5 minutes après, t'es à nouveau en sueur, l'air est lourd, étouffant, tout est poisseux, collant...

Pour les relations, toujours célibataire depuis bien longtemps maintenant et de plus en plus convaincu.
Vivre à deux, c'est tenter de résoudre à deux les emmerdes qu'on aurait jamais eu en restant tout seul.

dav-ID a écrit:

moi aussi je songe à acheter des moustiquaires, mais j'ai pas beaucoup d'espace, entre la vitre et le volet roulant...du coup, je sais pas trop où je pourrais installer ça...    

Apparemment celles que j'ai prises sont ultra fines, elles se collent sur le pourtour de la fenêtre, donc ça irait peut-être sur les tiennes (bon, moi j'ai des volets accordéon en métal (le bonheur quand il fait chaud, quelle idée de merde) je te dirai quand je les aurais posées si ça me semble convenir.

dav-ID a écrit:

    Je suis compassion...je me rappelle encore la maison de ma grand-mère, à l'époque où elle était encore vivante et que nous y allions...en pleine campagne, au milieu des champs...sa maison était pleine de ces bestioles...il y en avait de partout...cauchemar...    

Je suis pas à la campagne profonde, mais pas loin, donc c'est le point négatif, j'en ai beaucoup chez moi (dans mon garage par moment je croise des trucs qui ont la taille d'une soucoupe, je t'explique par les arrêts cardiaques que je frôle à chaque fois, j'ai beau essayer de me raisonner, de me dire que ce sont des animaux comme les autres, vraiment les araignées c'est pas possible, j'en ressens une terreur panique qui me fait perdre les pédales)
Et je sais que si je me retrouve seule face à un de ces trucs, j'arriverais jamais à m'en occuper, je suis capable de passer la nuit à pleurer de terreur devant comme une grosse dinde, je me déteste.

dav-ID a écrit:

Oui, c'est certain qu'il ne faut pas faire des généralités...pas tout les hommes, sont des gros machos qui pensent que les femmes ne servent à rien, à part obéir, faire les taches ingrates, les enfants, etc...

Mais c'est aussi valable pour l'inverse, toutes les femmes ne sont pas des anges, certaines sont de véritables pestes et elles sont bien pires que les mecs...

Après, je peux pas trop parler des relations hommes/femmes, mes histoires se compte sur une paire de doigts...parce qu'au final, je préfère de très loin, le calme et la tranquillité du célibat...

Disons que je crois qu'être con est une particularité humaine qui n'a ni sexe ni genre, hélas. C'est l'un des rares traits que l'on retrouve potentiellement chez tout le monde.
Après je suis pas contre une période de célibat, j'en ai eu de longues dans ma vie, mais bon, là j'avoue que je suis un peu lassée, j'aimerai bien chanter cuicui dans la prairie de temps en temps  

dav-Id a écrit:

Ouais, prendre un chat est une excellent option...si un jour je devais en prendre un, ce serait un chat (pas un chien, car j'aime pas les chiens)...

Les chiens c'est plus contraignant, faut les promener, les laver, c'est très dépendant ... L'attachement inconditionnel du chien à son maître me met un peu mal à l'aise j'avoue, c'est trop d'ascendant pour moi, je préfère un animal qui me regarde comme si j'étais une brindille sur sa chaussure, c'est plus équilibré comme rapport  
(Et puis je déteste l'odeur des chiens, ça me soulève le coeur. Ma soeur en a trois, deux huskys et un border collie, ils sont sympas, propres et hyper bien dressés, mais punaise, au bout de trois minutes dans la même pièce qu'eux, j'ai la nausée)

Donald S a écrit:

Je persiste à dire que des fois , mieux vaut être seulque mal accompagné.
Actuellement,je suis empêtré dans une relation amoureuse qui me fait plus de mal que de bien.
Des fois ,j en viens a regretter ma situation de célibataire.
Dur,dur...

Après, quand ça ne va pas, mieux vaut mettre fin à la relation parfois. Je ne veux pas jouer les conseillères de comptoir, mais si tu te sens mal dans ta relation, il vaut peut-être mieux, effectivement, retourner au célibat, même si c'est difficile.
On a toujours le choix.

[quote="Voyageur Solitaire]Un animal domestique, surtout si tu l'as dès le début, il est comment tu l'as élevé. Le chien et le chat sont souvent des éponges, ils se comportent souvent comme leur maître/maîtresse.(...)
Après, quand tu prends un animal, tu t'engages et t'acceptes les contraintes aussi, faut pas l'oublier.[/quote]

Oui totalement, c'est aussi ce qui oriente mon choix vers un chat, je sais que ça colle beaucoup mieux avec mon style de vie. Mais un animal, c'est toujours son lot de contraintes, faut en être conscient (ou alors on prend un Tamagotchi)

Une de mes amies vient d'avoir des chatons (enfin, son chat, pas elle hein XD) et du coup je me dit que s'il y a un petit gars dans la portée, je le prendrais

Voyageur Solitaire a écrit:

Histoire d'avoir l'esprit de contradiction, tout le monde sait ici que je suis du signe du chameau ascendant lézard et que j'adore la chaleur (même si, depuis bien des années, je ne m'expose plus).

Ah mais ça ne se discute pas, il en faut pour tout le monde. Et je comprends qu'on puisse détester le froid et la grisaille comme on déteste le soleil et le beau temps permanent. On n'a pas tous les mêmes caractères (ni les mêmes perceptions physiques) et c'est tant mieux, sinon on s'ennuierait.

Voyageur Solitaire a écrit:

Vivre à deux, c'est tenter de résoudre à deux les emmerdes qu'on aurait jamais eu en restant tout seul.

C'est vrai, mais ça vaut pour l'inverse aussi. Parfois, à deux, tu résouds des emmerdes dont tu aurais eu bien du mal à te sortir tout seul.
Genre payer ton loyer. Soutenir un deuil. Monter une bibliothèque Ikea. Faire face à un cambriolage. À une catastrophe domestique. À UNE PUTAIN D'ARAIGNEE DE LA TAILLE DU TEXAS JUSTE AU-DESSUS DE TON LIT.

(oui ça me préoccupe beaucoup XD. "Qu'est-ce que tu regrettes le plus chez ton ex, Yavie ?" "Sa capacité à éclater les araignées à coup de pantoufle" )(le pire, c'est que c'est VRAIMENT ce qui me manque le plus chez lui, je suis horrible XD)

Mouais, être à deux peut aider aussi (ton vachement convaincu...).
J'y ai pensé quand j'ai eu mon incident vasculaire cérébral l'an dernier, que je me suis réveillé par terre en me demandant ce qui s'était passé. Les jours suivants ont été assez durs, à attendre les résultats des examens. Et puis, maintenant, je me dis que si quelqu'un avait été là, ça n'aurait rien empêché pour autant, je serais tombé quand-même.
Quant au deuil, le fait d'avoir quelqu'un avec toi n'empêche pas que la personne est morte et qu'elle ne reviendra pas.

Pour les rapports hommes/femmes, ça part tellement en couilles que je ne m'y intéresse plus, je n'écoute plus. On part sur une multitude de cases, de communautés, de genres, tous aussi intransigeants et qui ne pensent qu'à se sauter à la gorge. Aujourd'hui, un homme normal, une femme normale, ça n'existe plus. Faut être vegan ou végétarien ou pansexuel ou féministe ou non genré ou adopter l'écriture inclusive ou autre. Tous les jours, on invente un nouveau truc, une nouvelle case et tout le monde part en guerre contre les autres : les vegans contre les viandars, les laïcs contre les religieux, les féministes contre les hommes, les machistes contre les femmes, ceux qui savent pas de quel sexe ils sont ou de quel sexe ils veulent être contre les autres, ceux qui vivent à la campagne contre ceux qui vivent en ville, les provaccins contre les antivaccins, ceux qui pensent que GTA 6 sortira bientôt contre ceux qui préfèrent attendre, ceux qui pensent que je suis PD parce que j'aime porter du rose contre ceux qui disent que c'est mon droit (d'être PD ou de porter du rose ?), ceux de gauche contre ceux de droite (quand ils se tapent pas sur la gueule entre eux déjà)... Le tout arbitré par influenceurs et influenceuses des égoûts sociaux qui s'improvisent spécialistes de la guerre en Ukraine après avoir été spécialistes du COVID et qui te disent comment il faut penser entre un défi à la con sur Tik Tok (j'essaie de chier droit pendant 15 jours pour me muscler l'anus) et une photo de leurs dernières chaussures trouvées en solde sur Instagram.

Perso, j'ai abandonné, cette société qui part en couilles ne m'intéresse plus.
C'est pas mal d'avoir 50 ans finalement : encore quelques voyages, quelques dessins, un ou deux bouquins et je pourrai partir sans trop de regrets, voire sans aucun.
"Il y a bien d'autres mondes, celui-là est mort pour moi" (Merlin, dans Excalibur de John Boorman)

C est vrai que c est peinard le célibat....
Pas de compte a rendre à personne,on gère son temps comme on veut ...
L impression que tout le monde ne peux pas vivre en couple.
Au bout ,d un moment ça peut être pesant aussi...
Et là je parle pas forcément de sexualité,mais plutôt du fait d avoir quelqu un a ses côtés ...partager des choses quoi...
Mais bon quand le couple n est plus qu un champ de bataille,que les rancoeurs se sont cumulé au point de plus pouvoir l autre ,c est pas top non plus...

Je déteste me faire traiter de "pervers nacissique",sous prétexte de ne pas partager le même point de vue que madame !
Ras le bol ,putain!
Désolé ,d étaler ma vie ici,mais la taverne est devenu le seul endroit où je peux souffler un peu.

Voyageur Solitaire a écrit:

Mouais, être à deux peut aider aussi (ton vachement convaincu...).
J'y ai pensé quand j'ai eu mon incident vasculaire cérébral l'an dernier, que je me suis réveillé par terre en me demandant ce qui s'était passé. Les jours suivants ont été assez durs, à attendre les résultats des examens. Et puis, maintenant, je me dis que si quelqu'un avait été là, ça n'aurait rien empêché pour autant, je serais tombé quand-même.
Quant au deuil, le fait d'avoir quelqu'un avec toi n'empêche pas que la personne est morte et qu'elle ne reviendra pas.

Je ne dis pas que ça change grand chose à la finalité, mais par moment ça aide un petit peu à ne pas s'effondrer (c'est valable aussi pour les amis et certains membres de la famille. C'est bien d'avoir des gens à pouvoir appeler au secours quand on en a vraiment besoin. Et quand ils sont près, c'est parfois bien utile)

Donc oui, tu serais tombé, la personne est morte, mais quand quelqu'un est là, il peut nous rattraper ou nous relever, et nous rappeler qu'il y a encore des vivants auxquels se raccrocher.
Sans tomber dans la dépendance affective, ça fait du bien parfois.

Voyageur Solitaire a écrit:

Perso, j'ai abandonné, cette société qui part en couilles ne m'intéresse plus.

J'avoue que je suis un peu perdue aussi. Travaillant en partie sur les réseaux sociaux (quand tu es à ton compte, c'est le seul moyen de faire ta propre promo, j'ai le minimum syndical au niveau des réseaux, mais c'est déjà trop vu le chemin que ça prend), j'avoue que je suis souvent hyper lassée des rapport humains en général. Et je trouve que c'est pire depuis l'épisode covid. Les gens se sont totalement déshumanisés à force de se plaquer un masque sur la tronche, et vraiment c'est dur. Il y a de quoi perdre la foi, je te l'accorde.
Heureusement qu'il reste quelques (trop rares) exceptions.

Donald S a écrit:

Au bout ,d un moment ça peut être pesant aussi...
Et là je parle pas forcément de sexualité,mais plutôt du fait d avoir quelqu un a ses côtés ...partager des choses quoi...

Oui voilà, c'est ce que je voulais dire. Parce que bon, sans vouloir me la jouer Princesse Disney, aimer et être aimé(e), c'est sympa aussi parfois.
Et ça manque, à la longue (je suis restée dans une relation sans amour, mais basée sur une profonde amitié, pendant 5 ans sur les 10 qu'on a passés ensemble, et c'est clair que la solitude commence à peser). Donc bon. Faut pas tout jeter aux orties non plus, le couple, quand ça ne part pas en sucette, c'est chouette aussi. Sans parler de former une entité à deux têtes indissociables qui fait tout ensemble, partager des moments, des centres d'intérêt, de l'humour, un peu de tendresse, c'est gratifiant aussi.
(oui, je suis niaise, foutez-moi la paix)

Donald S a écrit:

Je déteste me faire traiter de "pervers nacissique",sous prétexte de ne pas partager le même point de vue que madame !

"Pervers narcissique" c'est un peu le terme fourre-tout dans lequel on met tous les mecs depuis quelques temps c'est lassant. D'autant que les vrais PN, ça existe, mais que du coup à force de mettre n'importe quel mec qui chie un peu dans la colle derrière cette case, ça discrédite totalement le phénomène.
J'ai une copine qui en met à toutes les sauces aussi, ça m'agace tellement

Ouais,enfin un peu de lucidité...merci yavie...
Je suis péut être pas un saint ,mais merde un "pervers nacissique"....
Tous les hommes sont des pervers nacissique a ce rythme là ...

Tu parlais d une entité a deux têtes , malheureusement,je crois que ma relation a été trop fusionnelle des le départ.
Je me suis oublié, limite à en perdre mon identité...au début ,c est grisant...puis a la longue ca devient flippant ,tu te reconnais plus ...
Les choses se sont gâtées ,a partir du moment où j ai voulu m émanciper un peu... retrouver un peu de liberté...
Pas simple .Des fois ,je me sens sous emprise

Et il n y rien de niais a chercher l amour ...ceux qui disent ça ,sont des cyniques...

Yavanna a écrit:

Je ne dis pas que ça change grand chose à la finalité, mais par moment ça aide un petit peu à ne pas s'effondrer (c'est valable aussi pour les amis et certains membres de la famille. C'est bien d'avoir des gens à pouvoir appeler au secours quand on en a vraiment besoin. Et quand ils sont près, c'est parfois bien utile)

Donc oui, tu serais tombé, la personne est morte, mais quand quelqu'un est là, il peut nous rattraper ou nous relever, et nous rappeler qu'il y a encore des vivants auxquels se raccrocher.
Sans tomber dans la dépendance affective, ça fait du bien parfois.

C’est surtout dans certains moments que tu reconnais les personnes sur lesquelles tu peux compter. Beaucoup de gens ont tendance à parler du mot ami de manière assez large. Plus le temps est passé plus j’ai commencé à faire de la différence entre les connaissances, les collègues, et… les amis. J’ai quelques personnes dans mon entourage qui se disent être « ami », alors que finalement nous n’avons rien d’autre comme sujet de discussion que du professionnel. Et ça vient que quand ça a besoin, les efforts qui ne vont que dans un sens pour se voir. Tout âge confondu d’ailleurs, 20,30,50…
Donc maintenant, des vrais amis, j’en ai beaucoup moins à compter sur les doigts, mais je sais que je peux compter sur eux.

Donald S a écrit:

Tu parlais d une entité a deux têtes , malheureusement,je crois que ma relation a été trop fusionnelle des le départ.
Je me suis oublié, limite à en perdre mon identité...au début ,c est grisant...puis a la longue ca devient flippant ,tu te reconnais plus ...
Les choses se sont gâtées ,a partir du moment où j ai voulu m émanciper un peu... retrouver un peu de liberté...
Pas simple .Des fois ,je me sens sous emprise

C'est un travers dans lequel on tombe souvent en amour, la cristallisation, l'aveuglement, tout ça ... C'est le point positif de l'autisme, on est moins sensibles à ça, nous autres drôles de bestioles
Pour ça qu'il faut instaurer très tôt une sphère privée pour les deux, et surtout un dialogue le plus équilibré possible. Il faut se laisser de l'air, et savoir pourquoi
(bon, je dis ça comme si j'étais une spécialiste des relations amoureuses alors que je suis globalement dans mes propres rapports comme une poule avec une pelle)

Donald S a écrit:

Et il n y rien de niais a chercher l amour ...ceux qui disent ça ,sont des cyniques...

Oui c'est vrai. J'ai pas honte de le reconnaître, j'ai beau être indépendante et n'avoir aucunement besoin d'un mec pour vivre, j'aime bien en avoir un (c'est comme le chocolat en somme, t'en as aps besoin pour survivre, mais un petit carreau de temps en temps c'est pas de refus XD)

EliseVdbrc a écrit:

C’est surtout dans certains moments que tu reconnais les personnes sur lesquelles tu peux compter. Beaucoup de gens ont tendance à parler du mot ami de manière assez large. Plus le temps est passé plus j’ai commencé à faire de la différence entre les connaissances, les collègues, et… les amis. J’ai quelques personnes dans mon entourage qui se disent être « ami », alors que finalement nous n’avons rien d’autre comme sujet de discussion que du professionnel. Et ça vient que quand ça a besoin, les efforts qui ne vont que dans un sens pour se voir. Tout âge confondu d’ailleurs, 20,30,50…
Donc maintenant, des vrais amis, j’en ai beaucoup moins à compter sur les doigts, mais je sais que je peux compter sur eux.

Ah ça, c'est clair. Le nombre d'"amis" qui se font la malle quand tu traverses des périodes de crise, c'est fou
Chaque crise permet de faire le tri (c'est Marie Kondo qui va être contente)
Je suis comme toi, j'ai très très peu d'amis (si je compte bien, j'en ai 3, donc 2 vivent à plus de trois heures de route de chez moi), mais par contre je sais que je peux les appeler et qu'ils répondront présents au moindre vrai besoin (d'ailleurs j'ai pu le vérifier il y a peu, et ça m'a fait un bien fou). Et ça me suffit amplement
(même chose avec la famille d'ailleurs. La mienne, tentaculaire, s'est réduite à 3 personnes aussi, mes parents et ma soeur, point barre. Le reste, c'est juste des chromosomes en commun)
Donc voilà, j'ai 6 personnes dans ma vie, un lapin et deux poules, et ça suffit pour se sentir entourée ^^

Autiste toi ,Yavie ?
Si tu es autiste comme moi je suis pervers nacissique,on pourra dire qu il y a vraiment des termes qui sont utilisés a tort et à travers de nos jours ...
Le spectre autistique est tellement large ..
Du coup ,n importe qui qui aurait un comportement un peu "hors norme"peut se voir cataloguer autiste...
Drôle d epoque

Donald S a écrit:

Autiste toi ,Yavie ?

Oui oui, diagnostic clinique, en ce qui me concerne c'est loiiiiiiiin d'être abusé. Bon, je savais depuis longtemps que quelque chose "n'allait pas" chez moi, mais sans jamais avoir poussé plus loin (quand on te rabache toute ta vie que tu es juste "associale" et "incapable de faire des efforts" tu finis par le croire). Donc j'ai passé 33 ans avec l'étiquette de bizarre collée sur le front et un sentiment de culpabilité monstrueux, avant que finalement quelqu'un tilte et me pousse à faire les démarches nécessaires.
Mon TSA est assez léger, mais parfois difficile à vivre malgré tout, et j'ai tellement appris à le dissimuler qu'il est assez peu visible en général. Maintenant que je sais, je me sens beaucoup moins étouffée dans ma propre tête, je m'autorise plus de naturel (quitte à heurter, mais j'explique maintenant la manière dont je fonctionne, et généralement les gens réagissent assez bien) et surtout je cesse de me dire que tout est de ma faute et que je dois systématiquement me forcer.
Mais ça a fait des dégâts, mine de rien, et je devrai sans doute bosser dessus jusqu'à la fin de mes jours. Mais c'est la vie.

Yavanna a écrit:

Je suis pas à la campagne profonde, mais pas loin, donc c'est le point négatif, j'en ai beaucoup chez moi (dans mon garage par moment je croise des trucs qui ont la taille d'une soucoupe, je t'explique par les arrêts cardiaques que je frôle à chaque fois, j'ai beau essayer de me raisonner, de me dire que ce sont des animaux comme les autres, vraiment les araignées c'est pas possible, j'en ressens une terreur panique qui me fait perdre les pédales)

Ou alors tu fais comme la femme de ménage qui viens nettoyer la cabine de contrôle au taff...mercredi matin, elles sont passées pour nettoyer le PCO de fond en comble, j'ai remarqué qu'elle avait sur son bras (juste avant la main), un tatouage représentant une grosse araignée...

Toi qui aime les tatouages, avoir une araignée sur le corps, ça pourrait aider...

dav-ID a écrit:

Toi qui aime les tatouages, avoir une araignée sur le corps, ça pourrait aider...

Euuuuh ... Je vais rester avec mon escargot et ma pie, merci beaucoup, j'aime les tatouages oui, mais je me verrais pas me faire tatouer un truc dont j'ai une sainte horreur