Santé des forumers : pour se tenir informés

Décidement 2015 aura été une année de merde pour pas mal de monde...
Bon rétablissement à toi,l'indien!

sunkmanitu a écrit:

Aout 2015 : coliques néphrétiques avec calcul rénal en approche

Ouch. Jamais eu, mais tous les témoignages que j'ai eu sont douloureux.

sunkmanitu a écrit:

je prenais pour des hémorroïdes (oui je sais c'est con d'écrire ça sur un forum...)

On est des grands, c'est fini l'époque où on pouffait sur le pipi-caca (quoi que). Une fois, j'en ai parlé naturellement au boulot, j'ai compris aux hochements de tête et réponses qu'au moins deux collègues avaient eu ça aussi. C'est pas plus honteux qu'une tendinite.

sunkmanitu a écrit:

(avh stoppées, musique stoppée, aikido stoppé même les loisirs avec mes enfants (qui grandissent et sont de plus en plus demandeurs) ont été stoppés.

Destoppe, gars, destoppe.
Moi, je suis plutôt du genre à mettre le taff de côté, après faut trier. Aikido + iaido une fois par semaine, plus de musique mais je fais travailler la trompette à mon fils, travaux de la maison qui s'enlisent pour ne pas bouffer tous mes w.-e. et passer du temps en famille (là du coup ça s'enlise de trop, vivre entassé parce que la moitié de la baraque est en travaux, ça crée aussi des tensions), pas d'AVH mais des collaborations à des traductions rôlistiques (très cadré : j'explique clairement à l'équipe ce que je suis capable de donner, à savoir 5p./semaine max, 2 en moyenne, et je ne m'engage pas au-delà).

sunkmanitu a écrit:

Donc chers amis aujourd'hui je pense à ma gueule, je vais envoyer chier le taff et demander à changer de service, je vais reprendre l'aiki, la musique est reprise depuis début janvier et je profite à fond de mes Week end avec mes gosses. J'écoute du Hard à fond les manettes,  me reste plus qu'à renvoyer les avh's...

Yeah !

Ça tombe ben, on devrait avoir un live de Metallica bientôt dans les bacs (même France Inter en a parlé, c'est dire…).

sunkmanitu a écrit:

Ps : ah, oui, début 2015 un ami à moi retraité depuis cinq ans s'est suicidé et un collègue de travail est décédé un mois plus tard... Ambiance, ambiance 2015...

Ya des périodes comme ça. J'ai aussi vécu une période personnelle très pénible en 2015, cumulé avec l'actualité, c'est détonnant.

Content de te revoir, regonfle-toi à bloc !

Rappel important: ne pas faire joujou avec l'électricité !
Je viens de me prendre une décharge de 220v en essayant de tester le moteur d'une grille d'aspiration. Une légère brûlure cutanée sur 10 cm alors que je n'ai ressenti aucune douleur, ça fait très bizarre...

Le coup de foudre

Nom de Zeus !!!

oui, j'ai aussi vu un éclair blanc

Après, as-tu fait des étincelles au travail?

gynogege a écrit:

Rappel important: ne pas faire joujou avec l'électricité !

Oui, le 230 V alternatif est dangereux (c'est 230, maintenant, mais c'est pas les 10 V de plus qui posent problème).

gynogege a écrit:

Une légère brûlure cutanée sur 10 cm alors que je n'ai ressenti aucune douleur, ça fait très bizarre...

Si c'est superficiel ça va. Mais si le courant a fait un trajet dans le corps, il y a une brûlure au point d'entrée et une brûlure au point de sortie, et la gros risque de rhabdomyolyse : des cellules à l'intérieur du corps ont été détruites et ont libéré des trucs pas cool (genre des ions potassium contenus dans leur paroi, et qui peut venir perturber le rythme cardiaque).

Tu peux mourir plusieurs heures ou jours après. Euh, Gyno, t'es encore là ?

Si c'est au boulot, il faut que tu aies recours à la procédure en cas d'accident (en particulier passage à l'infirmerie s'il y en a une), sinon, un p'tit coup de fil au Samu (centre 15) pour discuter avec un toubib et savoir quoi faire.

Une brûlure d'origine électrique est toujours, par précaution, considérée comme grave.

Moi, quand je manipule des conducteurs nus et sous tension (c'est extrêmement rare de devoir laisser le courant, mais ça arrive), j'ai toujours des gants (sauf quand il faut que je texte la phase avec le tournevis testeur, bien sûr). Et même après avoir coupé le courant, je teste au tournevis pour être sûr de pouvoir intervenir tranquillement. Une fois, j'ai fait un court circuit entre une phase et un neutre avec un tournevis alors que je croyais avoir sécurisé ; j'avais des gants, je m'en suis tiré avec une impression rétinienne pendant quelques minutes, et ça m'a permis de voir que mes disjoncteurs marchent bien

Je suis toujours là
J'avais regardé un peu sur internet et j'ai fait attention à mon rythme cardiaque et à voir si mes muscles fonctionnent bien. A priori pas de problème. je n'ose même pas dire ce que j'ai fait tellement c'était con
résultat: ça ma convaincu qu'il fallait que je passe une formation à l'habilitation électrique vu que j'ai la possibilité de le faire.

gynogege a écrit:

ça ma convaincu qu'il fallait que je passe une formation à l'habilitation électrique vu que j'ai la possibilité de le faire.

Pas fait, mais effectivement, c'est une bonne idée. Mais au premier niveau, je crois que c'est assez basique (on est plutôt dans le TPPC, « touche pas petit con »).

Mais l'électricité, c'est pas si compliqué que ça, pour peu qu'on soit consciencieux et attentif. Pour la conception (choix des sections de fils, des calibres de disjoncteurs), il suffit de suivre les manuels, par exemple
http://www.legrand.fr/particuliers/guide-pratique-l-installation-electrique-dans-l-habitat_1750.html
en vente, mais téléchargeable gratuitement ; bon, il a un côté catalogue de pub et les 3/4 sont sur le multimédia, mais il  y a tout ce qui est nécessaire au début.

Les deux dangers sont : l'électrisation/électrocution, et l'échauffement (incendie).

Électrisation/électrocution : pour l'éviter, il ne faut voir aucun bout de cuivre (pièce nue sous tension, PNST). On travaille toujours hors tension ; on dénude juste la longueur nécessaire de fil, on l'insert dans le branchement, on serre suffisamment si nécessaire : ou mieux, on utilise des branchements sans serrage : ils ont une lame ressort qui vient coincer automatiquement le fil. Une fois tout fermé, rien ne doit dépasser.

Conseil : pour les prises, on peut travailler avec des fils de 2,5 mm² (« deux cinq carré » comme disent les électriciens, fils de 1,8 mm de diamètre), qui permet de brancher plus de prises sur un circuit (jusqu'à 12 prises, avec un disjoncteur de protection de 20 A) ; mais ce sont des gros fils difficiles à caser dans les boîtiers. Mieux vaut travailler avec du 1,5 mm² (« un cinq carré », ∅ 1,4 mm), plus souples, moins encombrants (mais disjoncteur de 16 A, et pas plus de 8 prises par circuit) ; ça fait plus de fil à tirer et plus de modules à mettre dans le tableau de protection et de répartition, mais ça facilite grandement l'installation.

Et puis, toutes les prises doivent être reliées à la terre, et chaque ligne du tableau de protection et de répartition doit avoir un disjoncteur différentiel 30 mA (le différentiel du disjoncteur général n'est pas assez sensible). Les parties métalliques apparentes (tuyaux de cuivre, radiateurs…) doivent elles aussi être à la terre.

Échauffement (incendie) : la taille du fil doit être adaptée à la quantité de courant (l'intensité, en ampères) qui circule. Pour éviter l'échauffement, il faut d'une part utiliser les bonnes sections de fil et les bons disjoncteurs de protection, et mettre suffisamment de prises par pièces (3 pour une chambre, 6 pour un plan de travail cuisine) pour ne pas avoir des multiprises qui s'empilent.

D'autre part, il faut que les connexions soient bien faites : s'il y a un faux contact, le courant ne passe que sur une partie du contact, et ça chauffe sans que cela ne soit détecté par les disjoncteurs. Il faut donc bien serrer les connexions à vis, ou mieux, utiliser des connecteurs automatiques (à lame ressort).

Normalement pas d'habilitation électrique = pas touche aux matériels électriques. C'est de la responsabilité de l'employeur de faire suivre la formation aux membres de son entreprise.

Depuis que cette habilitation existe l’accident lié à électricité est plus élevé dans le domestique que dans l'entreprise...

Oui. je parlais bien sûr de l'électricité domestique, j'ai supposé qu'un 14 juillet, ce n'était pas un accident du travail.

Merci des conseils !

43° assommant cet après-midi sur Angers : du jamais vu Je bois au maximum de l'eau sucrée ou pas, me demandant s'il est conseillé par très fortes vagues de chaleur manger tout autant et ce, pour garder la forme.

Je peux pas manger le soir en ce moment...

ALIN V a écrit:

Normalement pas d'habilitation électrique = pas touche aux matériels électriques. C'est de la responsabilité de l'employeur de faire suivre la formation aux membres de son entreprise.

Tout à fait...dans mon taff on branche et débranche des grosses prises électrique sur les poches d'acier...juste pour ça t'es obligé de passer une habilitation électrique de base...avec un recyclage de temps en temps...idem pour le reste (risque gaz, chariot élévateur, etc...)...pas d'habilitation, pas touche sinon ça te retombe dessus en cas de pépin...

Lowbac a écrit:

43° assommant cet après-midi sur Angers : du jamais vu

Et dans le sud il fait bon (même pas 30° l'après-midi)...j'ai même vu qu'il y avait eu un peut de neige dans les Alpes il y a quelques jours...normal lol

http://www.quotibien.fr/la-ronrontherapie-une-therapie-pas-comme-les-autres/ nouvelle médecine lol

Moi j'aime bien quand mon chat vient se blottir contre moi et qu'il ronronne

Quelqu'un sait-il si la consultation chez un orthopédiste est remboursée par la Sécu Sociale

A priori, je dirai que ça rentre dans le parcours de soins coordonnés, donc que ce n'est remboursé que si c'est prescrit par ton médecin traitant déclaré (sauf si c'est dans le cadre d'une pathologie déjà traitée, probablement).

https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/F163

Oui bien prescrit par le médecin traitant, c'est beau tout de même la Sécu Sociale^^. Merci pour le surplus d'information, dommage que certaines fonctions de la santé échappent au remboursement : ostéo, pédicure etc sans qu'il me semble qu'il y en ait beaucoup de non-remboursées. Cool même des radios dentaires eues intégralement remboursées pour prévenir une parondontie.

Lowbac a écrit:

dommage que certaines fonctions de la santé échappent au remboursement : ostéo, pédicure etc sans qu'il me semble qu'il y en ait beaucoup de non-remboursées.

Ou pas.

Si chacun est libre de choisir sa manière de vivre, en revanche, quand il s'agit d'utiliser l'argent public, on peut demander à ce qu'il soit utilisé de manière rationnelle. Non pas que ce soit toujours le cas, loin de là ; mais une méthode ne devrait être remboursée que si, au minimum, elle se montre plus efficace que la guérison naturelle (dans le meilleur des cas, cette preuve est une étude dite « randomisée en double aveugle »).

Or, certaines pratiquent ne se donnent pas la peine de chercher à le prouver. Alors que si elles marchent, ça devrait être facile, non ?

Pas mieux.
Faudrait veiller à faire un vrai ménage au niveau du lobby banéothérapique tant qu'on y est

Si seulement il n y avait que là que ca déconne... Ma belle sœur bosse en hôpital et elle est effaré par tous ce quelle voit comme abus. (comme les étrangers venant se faire soigner en France et dont les états ne règlent jamais la facture, mais chut faut pas le dire car les princes saoudiens n'aiment pas ça.)

Une opération visant à réparer un ménisque et un ligament croisé "rongés" pour une personne sportive risque-t-elle de l'éloigner pour un long temps des terrains & qu'en est-il de la prise en charge par l'assurance maladie d'un séjour en clinique Merci d'avance pour les informations que je tente de récolter ici et auprès d'un camarade qui s'était fait rouler sur le bras par une roue de bus.

Alors s'il s'est fait rouler dessus, le côté financier ne devrait pas être un problème. Ce qui n'est pas pris en charge par l'Assurance-maladie le sera par l'assurance de la compagnie de bus. Il a dû se faire ramasser par les pompiers ou le samu, accident sur la voie publique + blessé = la police a dû venir constater, ça ne devrait pas poser de problème.

Après, oui, ça éloigne toujours « un certain temps » des terrains de sport. Le mieux est de poser la question à un médecin sportif, ou à un médecin généraliste qui pratique le sport en question (ou au chirurgien orthopédiste, mais il peut avoir une vision faussée des efforts réels à fournir lors de la pratique sportive).