Épouvante ! 2 - Frankenstein le Maudit

Dagonides a écrit:

Dans le bouquin de Mary Shelley, tu as le point de vue de la Créature, sauf qu'elle parle comme un poète sensible (et un tantinet verbeux). Ça ne me déplaît pas, ça fait partie du charme de l'oeuvre. Disons juste que, la première fois que tu lis le roman, ça surprend.

Surtout si tu connaissais Frankenstein par les films et que tu l'imaginais avec la tête de Boris karloff.

En tout cas hâte de le commencer, je vais prendre les cartes comme vous me le conseillez.

Merci Dagonides pour les cartes !

J'ai lu le roman de Mary Shelley récemment.
Et ceux de Jean-Claude Carrière.
Et ceux de Dean Koontz.

En cherchant les noms que tu as indiqués, Regulator, je découvre de drôles de trucs...


Et quelqu'un a aussi écrit des Frankenstein Wars je crois, sans doute J. Green.

Jean-Claude Carrière était encore inconnu à cette époque.

Un bon cru.
Le reste aussi.

Je te les recommande.

@HerbertWest (message en haut de page)

C'était Le Fils de Frankenstein (Lee, 1939) avec en effet Boris Karloff, une des suites du fameux film de James Whale de 1931 qui a posé l'image du monstre. Dégoté en K7 au vidéo-club du collège.

Et une version de nos jours oubliée et peu trouvable, intitulée Frankenstein, sans doute un téléfilm, imitant un peu le style de la Hammer, avec l'ajout d'un personnage inquiétant, un hypnotiseur nommé Caligari ou Polidori, je ne sais plus. Là aussi une pépite du vidéo-club scolaire.
EDIT : c'était Frankenstein: la véritable histoire, une mini-série réalisée par Jack Smight en 1973 et remontée en film. Avec James Mason en Dr Polidori, et Leonard Whiting (le Roméo du Roméo et Juliette de Zeffirelli) en Victor Frankenstein.

Puisqu'on en est là...

Oulà ! Je ne vais pas l'oser, celui-là.

Toutes les cartes de Dagonides sont une aide précieuse, mais celle-là plus encore, quand on a comme moi tourné en rond, tourné en rond... et pour changer, tourné en rond sur la banquise de ce très éprouvant Frankenstein le Maudit

Je préfère nettement le Dracula de Brennan, qui au moins reste bourré d'humour. 
Pour refaire un nouveau Frankenstein, il faudrait demander à Green spécialiste des classiques revisites.