Tout le monde aime : vous non.

@Phooey: je suis plutôt d'accord avec toi au sujet du talisman de la mort ainsi que pour le marais aux scorpions (tiens, tiens, comme par hasard deux livres parmi les premiers, non écrits par Steve et Ian....).

Concernant le SDLMDF, je le trouve bon (surtout pour un premier livre), enchanteur, équilibré, et surtout bien dans l'esprit heroic fantasy. Le livre parfait pour un débutant voulant connaître cette série selon moi. Je le trouve même plus fun que pas mal de DF qui l'ont suivis.

Concernant le manoir, comment le qualifier en deux mots, je le trouve génial et prenant. Un chef d'oeuvre parmi les LDVELH et un petit bijou à l'ambiance fantastique. Son seul défaut ? Trop court.

La creature ? Pas accroché à l'ambiance du début. Si je l'avais terminer, je l'aurais peut-être également trouver génial, qui sait ?

Oui, il est prenant et original mais il lui manque vraiment une histoire plus développée. C'est vraiment du survival.
Peut être qu'il a la "malchance" de ne pas bénéficier de l'histoire de Titan qui profite à pas mal de DF pas plus développés que le manoir mais dont l'histoire s'insère dans l'Histoire générale de Titan et que les lecteurs font le lien plus ou moins consciemment.

Sinon, à ton instar, je suis un très grand défenseur des Rodeurs de la nuit qui pour le coup, est vraiment mal noté par la communauté je trouve. Il est vraiment extraordinaire celui la et possède une ambiance vraiment geniale !
Sans conteste un de mes DF préférés.

Autant pour moi, Akka, je n'ai pas été revoir les notes du SDLMF et du Marais mais j'avais l'impression qu'ils étaient plutôt considérés comme "assez bons".

Phooey a écrit:

Autant pour moi,  Akka, je n'ai pas été revoir les notes du SDLMF et du Marais mais j'avais l'impression qu'ils étaient plutôt considérés comme "assez bons".

Le Marais est considéré comme "assez bon", mais je ne pense pas que ce soit suffisant pour le faire rentrer dans la catégorie "tout le monde aime"
Le Sorcier, c'est beaucoup plus mitigé, et une bonne partie des critiques qui le notent bien reconnaissent que son aspect précurseur lui donne droit à beaucoup d'indulgence.