Tu as de beaux trésors, tu sais...

In la Crypte du Sorcier je n'ai pu m'empêcher de combattre le Gardien des Ossements parce qu'en échange d'un certain objet il aurait été prêt à me donner une bague, je me suis dit que sans cet objet qui lui fait si envie autant m'en débarrasser pour avoir accès à tout son stock de bagues

Dans quels autres ouvrages, face à des personnages gentils mais possesseurs à n'en pas douter de précieuses choses qu'ils ne donnent qu'en échange d'articles qu'on aurait récolté sur notre route, avez-vous décidé de vous en emparer par la voie des armes Et tant pis si l'on est un aventurier cupide lol. Ces instants d'examen de conscience vous permettent-ils de caractériser encore plus le personnage de héros ?

-Dans la cité des voleurs, on peut agresser plusieurs marchands pour piquer leurs marchandises

La voie des armes est surtout visible dans les premiers ldvelhs. Dans le SDLMDF, on peut attaquer souvent sans raison le premier venu (nains, marchand)
Le même travers existe avec les aventuriers débutants en JDR : les premières rencontres, ils bastonnent systématiquement sans réfléchir, ils croient que c'est automatique.

VIK a écrit:

La voie des armes est surtout visible dans les premiers ldvelhs. Dans le SDLMDF, on peut attaquer souvent sans raison le premier venu (nains, marchand)

C'est aussi le cas dans la "Forêt de la Malédiction", où on incarne un mercenaire (presque) sans foi ni loi. Néanmoins, recourir à la force face à un personnage d'alignement "bon" conduit presque systématiquement à l'échec (on peut bien se faire ridiculiser deux fois dans l'aventure).
Cette tendance "moraliste" de l'histoire est surtout l'apanage de "Loup Solitaire" où l'on se doit de servir le Bien.

Un Loup-Solitaire particulièrement vénal peut cependant liquider la mauvaise personne à Crique en Gorn et prendre sa bourse bien remplie