Crystal of Storms (Rhianna Pratchett)

Crystal of Storms (Rhianna Pratchett)

En mars 2020, nous avons appris que Rhianna Pratchett, fille de Terry Pratchett, était en train d'écrire un Défis fantastiques dont le titre est Crystal of Storms (Le Cristal des tempêtes), prévu pour octobre 2020 [1]. Le thème :

Citation :

Vous, l'héroïne de cette histoire, êtes une Gardienne du Ciel, chargée de veiller sur l'île flottante de Nimbus. Mais l'île s'abîme brutalement dans l'océan des Tempêtes ; vous devez combattre les éléments et les monstres marins afin de la renflouer des profondeurs.

Depuis, on a quelques détails : le blog du site Fighting Fantasy, le 29 octobre, indique :

Rihanna Pratchett a écrit:

J'ai beaucoup lu les Défis fantastiques quand j'étais enfant. J'ai eu des problèmes avec la bibliothèque du coin parce que je ne les ramenais pas. Je me rappelle d'une lettre me menaçant de me traîner devant un tribunal si je ne ramenais pas un de ces livres. Je lisais beaucoup et je l'avais perdu sous mon lit. […] Mon conte est un peu plus légers que certains autres et j'introduis un côté procédure de police assez nouveau dans cet univers. Mais j'ai réutilisé quelques monstres classiques tirés des livres des années 1980 et 1990 avec beaucoup de plaisir.

On y trouve un lien vers l'intro du livre :

Citation :

Contexte

Les enfants des tempêtes de Pangara, le dieu du vent, ont longtemps régné sur les eaux séparant Allansia de Khul. Nombreux sont celles et ceux qui ont perdu leur vie en voulant traverser l'océan des Tempêtes, vaincus par les ouragans ou les terrifiantes créatures marines qui rôdent dans les profondeurs. Mais l’œil de Zéphyr, la plus grande des tempêtes, là où l'air est doux et calme, recèle l'archipel volant de Pangaria. Les cinq îles de Cirrus, Alto, Cumulus, Incus et Asperitas entourent six petites îles connues sous le nom de Nimbus.

Vous êtes née et avez été élevée à Pangaria mais alors que vos amis ont décidé se joindre aux communautés de travail de leurs îles, pour élever des nuages sur l'île d'eau d'Altos ou garder les troupeaux de la faune magique (et facétieuse) de Cirrus, vous rêviez de plus grand. Vous ne vouliez pas vous cantonner à une seule île, vous vouliez les voir toutes. Vous avez donc décidé de rejoindre la Garde du Ciel, les gardiens de la paix de Pangaria. Mais votre chère patrie est pacifique et les premières semaines dans la Garde ont consisté en un défilé ennuyeux d'histoires d'animaux domestiques perdus et de chamailleries insignifiantes concernant des buissons dépassant des limites de propriétés. Votre cœur réclame de l'aventure.

Enfin, un matin, un message urgent arrive à la caserne, convoquant la totalité de la Garde à une réunion d'urgence à la citadelle de Nimbus. L'aventure semble enfin avoir entendu vos prières.

Tout excitée, la garnison de la caserne monte à bord du planeur local — un de ces petits navires volants transportant les Pangariens entre les îles. Tout le monde semble ignorer le pourquoi de la convocation. Vous n'êtes allée qu'une seule fois à la citadelle, pour prononcer le serment de la Garde du Ciel, et ce lieu a encore pour vous un caractère nouveau excitant. Vous sortez la tête par la fenêtre du planeur pour apercevoir les tours spiralées et les remparts sculptés de la citadelle, là où officient les juristes, les diplomates et les officiels des îles. Le pilote gobelin du planeur vous invite à ne pas vous pencher au dehors à moins de vouloir risquer de perdre la tête, au sens propre.

Vous avez entendu dire que dans le monde extérieur, les tribus de Gobelins pouvaient être agressives envers les Humains et les autres espèces mais à Pangaria, les Gobelins sont en général amicaux. Et surtout, ils ont développé une technomancie — un mélange de magie et de génie mécanique —  qui maintient Pangaria en suspension dans l'air.

Alors que vous vous apprêtez à débarquer sur Nimbus, votre commandant, le capitaine Halleck, semble agité. « Par le souffle de Zéphyr » s'exclame-t-il, « j'ai oublié mon aile stationnaire ! Je ne peux décemment pas me présenter à la citadelle sans elle. Recrue, allez le chercher à la caserne je vous prie. » Il fouille dans ses poches. « Ramenez-moi également ma bourse. »

Vous hochez la tête. Vous êtes la dernière arrivée dans la Garde, vous n'avez pas vraiment le choix. Vous restez donc à bord du planeur tandis que le reste de la Garde débarque, vous espérez ne rien rater d'excitant durant l'aller-retour. Voyant votre frustration, le pilote mène le planeur à sa vitesse maximale pour vous amener à la porte de la garnison. Vous vous ruez à l'intérieur et ressortez rapidement, agrippant la bourse dont les pièces tintinnabulent, et portant l'aile stationnaire de Halleck.

Vous ne pouvez vous empêcher de vous ébahir devant ces ailes portables en métal finement ouvragées, mues par des cristaux de tempête, moissonnés dans les tempêtes locales par les élémentaux nés des tempêtes. Vous rêvez au jour où vous aurez assez de bouteille pour posséder votre propre équipement. Vous vérifiez la jauge des cristaux qui est attachée à un petit cristal de tempête bleu-vert dans lequel tourbillonne la minuscule tempête qu'il emprisonne. Les cristaux sont pleins au tiers mais vous n'avez pas le temps de les recharger. Vous vous précipitez dans le planeur.

La petite nef a à peine le temps de se stabiliser que vous sautez du bastingage pour courir vers la citadelle. Soudain, une énorme explosion secoue Nimbus et une vague d'énergie se rue sur vous en provenance de la forteresse, vous catapultant dans les airs, au-delà des rives de l'île.

Vous commencez à plonger vers le sol lointain.

Votre aventure vous attend ! Que votre endurance ne vous fasse pas défaut !

Et maintenant, tournez la page…

Le billet met aussi un lien vers un article de TheBoookSeller.com

On trouve un entretien avec l'autrice, en anglais, réalisé lors de l'International Gamebook Day, le 27 août 2020, sur Twitter (à partir de 10 min 12 sec) :
https://twitter.com/World_of_Legend/status/1298951057653952517

(Traductions de l'anglais par mes soins.)

Merci pour les infos ! L'aspect "police procedural" et "les gobelins sont amicaux et doués en technologie" rappellent agréablement le Disque-Monde de son père. J'ai hâte de le lire.

Je remarque aussi que tu as féminisé la protagoniste avec "vous êtes née" dans ta traduction, j'approuve. Je ne sais pas si le reste du livre précise le genre du personnage et si la traduction française fera le même choix que toi (ou alors pure écriture épicène, soyons fous), mais je trouve ça intéressant.

Disons que de ma part, c'est un choix militant : depuis 40 ans, les filles et femmes lisant les LDVELH en français doivent s'identifier à un homme, ya pas de raison qu'on ne fasse pas l'inverse ^_^. Ça s'inscrit aussi dans le cadre d'un mouvement au sein du jeu de rôle en France, porté par Coralie David, Jérôme Larré, Le Grümph et Thomas Munier, d'écriture au « neutre féminin ». Ici, c'est de plus légitimé par le fait que c'est une autrice donc on peut s'imaginer qu'elle se projette dans le personnage-héroïne lorsqu'elle écrit.

Le seul bémol, c'est que comme la couverture est violette, on pourrait me reprocher de vouloir coller à un stéréotype de genre. Mais je vous assure que j'aurai écrit au féminin même si elle avait été bleue

Ah excellent merci pour ces précisions, c'est un sujet qui m'intéresse également.

J'ai justement écrit un AVH avec écriture épicène (non genrée) pour une projection optimale, mais je vais aussi jeter un oeil à cette écriture au neutre féminin.

J'ai appris un mot : épicène !

Je lis aussi l'intro de ce futur DF. On découvre un nouveau peuple du monde des DF qu'on croyait connaître ! En plus il y a des navires qui volent. L'origine de la Galéréale de La Créature venue du Chaos ?
Je suppose que le texte d'intro sera encore un peu étoffé.

La sortie est manifestement prévue pour le 1er octobre 2020, le livre est déjà en prévente : https://www.fightingfantasy.com/crystal-of-storms

D'après des messages Facebook, j'ai l'impression que certains lecteurs « privilégiés » l'ont déjà entre les mains :
https://www.facebook.com/groups/119477611817995/permalink/1067370697028677/

Citation :

DONE! Phew that final  battle was a very, very long affair!!! Definately not a bad story. Good ending. Just so many code words, luck tests and hover recharges my brain is frazzled!!!

FINI ! Ouah, le combat final était très, très long !!! Assurément, l'histoire n'est pas mauvaise. Une bonne fin. Mais tant de mots de code, de tests de chance et l'aile stationnaire à recharger, mon cerveau est vanné !!!

Oui a priori ça semble mieux que Gates of Death.

A priori au niveau conception de jeu Rhianna Pratchett doit être au-dessus de Higson. Mais au niveau style c'est moins sûr. Si elle a bourré le livre de mots de code c'est qu'elle a dû être bien briefée par Jonathan Green !

Reçu aujourd'hui et premier test:

je vais essayer de ne pas spoiler mais c'est très intéressant: on a le choix entre trois îles "de naissance" et j'ai l'impression qu'il y a une solution différente, en fonction de l'île choisie un peu comme dans RDV avec la M.O.R.T (au moins pour la première partie). Le problème c'est que Pratchett ne dit pas explicitement qu'on ne peut visiter chaque île qu'une fois mais je suppose que c'est le cas sinon c'est très bizarre et on se retrouverait à faire la même chose plusieurs fois. Dommage que ce point ne soit pas clair, personnellement j'ai préféré abandonner plutôt que de refaire une île, mais j'ai vu que techniquement ça m'aurait permis de débloquer des situations, c'est pour ça que je suppose qu'il y a une solution pour chaque île de départ.
Pour le reste il y a pas mal d'objets et quelques codes. On n'a pas de provisions au départ et on perd assez facilement des points d'HABILETE, du coup ça devient de plus en plus tendu et c'est un bon point je trouve. L'univers est quand même assez particulier par rapport au standard de Titan (avec des élevages de nuages!), mais pour le reste c'est bien du DF, et plutôt bien foutu ma foi !
Au prochain coup j'essaie une autre île de départ.

Tiens-nous au courant et n'hésite pas à rédiger une petite critique.

Pas trop enfantin comme style?

Dommage pour la couverture

Le style est assez standard pour moi et il y a pas mal de combats. Ca ne me paraît pas plus enfantin que les premiers DF. Quand Pratchett dit que c'est à partir de 8 ans pour moi c'est une blague. Comme un DF normal ça s'adresse à un public à partir de 10-12 ans. C'est moins sombre que les derniers Greene, ça paraît évident (encore que je n'ai pas lu la fin). Pour l'instant on n'a pas de monstres à tête de cul non plus. Les illustrations intérieures c'est pas ma tasse de thé, mais c'est pas pire que du Krizan...
Par contre, quand on sait que poure "Retour à la Montagne de Feu" ils ont repris les illustrations de McKenna, là c'est vraiment le grand écart au niveau graphiqu entre leurs deux sorties ! A mon avis Scholastic fait des tests pour voir si ils arrivent à toucher un nouveau public. Au début c'était les enfants, maintenant c'est les filles (c'est assumé officiellement hein, c'est pas juste une interprétation de ma part, voir l'interview sur la BBC). D'un autre côté ils font une réédition qui est clairement dirigée cette fois vers les fans old school.

Ce qu'on peut accorder à Pratchett c'est qu'elle fait des efforts sur la jouabilité. Elle distingue clairement FA et Habileté par exemple, alors que Livingstone dans Assassins of Allansia refuse toujours incroyablement de le faire. A mon sens, le plus important pour toucher un jeune public aujourd'hui c'est d'avoir d'abord quelque chose de jouable, qu'on n'est pas obligé de débugguer pour le finir. Jonathant Greene avait fait un gros effort dans ce sens et j'ai le sentiment que Pratchett a suivi sa voie, donc ça peut fonctionner.

Merci gynogege pour toutes ces précisions. Au départ, je m'attendais à un livre pour gamins mais apparemment le public est le même que pour les df classiques.
Je confirme aussi que la réédition de Retour à la Montagne de Feu ressemble beaucoup à un appel du pied aux vieux joueurs. Perso, j'aimerais bien un nouveau Green.

Bon, j'ai achevé le livre (mais pas vérifié qu'on s'en sortait à partir de chaque choix initial mais ça paraît assez clair).

Impression d'ensemble: c'est plutôt du haut de gamme, voire du très haut, malgré quelques défauts évitables sur lesquels je reviendrai.

Le premier point hyper positif: le scénario. On n'est pas dans le kill the sorcerer standard, on part sur une situation catastrophique (la chute d'une île de l'archipel volant de Pangaria) et on doit enquêter pour découvrir ce qui se passe. Bon l'enquête c'est pas du Nils Jacket non plus, c'est surtout de l'exploration, mais on a beaucoup de situations variées et intéressantes, quelques unes mémorables. De bout en bout le scénario tient la route, avec un crescendo bien mené et une super baston finale.

Alors il y a beaucoup de baston, ça plaira à certains, moin sà d'autres. Pratchett a suivi les conseils de Green et ça se voit. Dans la plupart des combats il y a un élément qui donne du piment.Il y a aussi beaucoup de potions et armes qui permettent de doper la FA quand il faut, un peu trop parce que pour en tenir la comptabilité c'est un peu galère. Mais ces bonus sont nécessaires pour arriver au bout avec des stats normales.
Premier point noir dans les règles: il n'est pas clair si les potions peuvent être utilisées pour doper la FA quand on manipule de batyscaphe et ses pinces, mais si ce n'est pas le cas ça devient injouable (donc j'ai considéré le batyscaphe comme une arme qu'on manipule avec sa FA et je pense que c'est ce qu'il faut faire).
Parce que oui il y a un petit côté Grande Menace des Robots tout à fait sympathique, avec des combats sous-marins. Tout ça c'est du très bon.

Là ,où ça cloche un peu, comme je l'ai déjà évoqué, c'est que Pratchett comme Higson fait le choix d'avoir des parties d'exploration très libres. Si il manque un objet, on peut faire demi-tour, retourner explorer et le chercher. Le problème c'est qu'à certains moments c'est mal géré. dans la première partie déjà , il est évident qu'on ne peut explorer chaque île qu'une fois mais ce n'est pas dit. Ensuite par contre, lorsqu'on a clairement le choix de revenir sur vos pas, on a l'impression que l'auteur a oublié des cas de figur où on se retrouve à devoir refaire des trucs qu'on ne devrait pas avoir à refaire. J'ai pris la liberté de court-circuiter ces problèmes en notant un paragraphe de renvoi pour ramener les objets que j'avais oubliés. Vous comprenez que ça a un goût prononcé de Keith Martin sauf que lui ne s'emmêlait pas les pinceaux. On peut le pardonner à Pratchett, c'est moins excusable par contre que le livre n'ait pas subi de tests poussés, parce que ces problèmes étaient facilement corrigeables.
Du coup encore une fouis pour un.e gamin.e qui s'initie aux ldvelh c'est déconseillé. Trop de gestion d'équipement, trop de problèmes où l'enfant ne saura pas comment contourner les approximations de l'auteur. C'est complètement incohérent avec la volonté prétendue de Scholastic de capter un public plus jeune habitué à des jeux videos qui ne présentent pas ces soucis.
On est au contraire dans du ldvelh de vieux briscard. Et du coup ça m'a vraiment séduit. Au passage ça fait un livre avec très très peu de PFA, puisque au lieu de mourir et de recommencer on tourne en rond jusqu'à épuisement, ou pas, un peu du style Escape book. C'est moins long, mais je pense que pour de l'initiation c'est plus facile d'avoir un livre qui dit clairement: "stop, tu es mort, tu recommences."

Donc malgré les problèmes, j'ai été bien séduit par l'univers et par la maîtrise globale et je mets un bon

17/20

Merci gynogege  pour ce compte rendu . Après le déception de cette couverture digne de Disney ce petit résumé me donne le gout. Est ce que tu sait si une traduction en vf est prévu pour bientôt ?

Décidément, je pensais avoir vu moche en matière de couverture, mais là...comme le dit Taverneux au dessus, digne d'un Disney, c'est tout à fait ça...

Super, merci pour ta critique Gynogege.

Du coup, il faudrait créer un fil dans :
https://www.la-taverne-des-aventuriers.com/f34-defis-fantastiques
sous le titre 68 - Crystal of Storms (si j'ai bien compris) et la coller dedans.

Avec de bonne illustrations et couverture le livre aurait facilement gagné 2 points de plus?
Vu le style de l'auteur de le synopsis j'ai eu du mal à croire que c'était pour des enfants.
Mauvais choix, parce que sa couverture c'est pour les petites filles de 5 ans pas plus.

gynogege a écrit:

Là ,où ça cloche un peu, comme je l'ai déjà évoqué, c'est que Pratchett comme Higson fait le choix d'avoir des parties d'exploration très libres. Si il manque un objet, on peut faire demi-tour, retourner explorer et le chercher. Le problème c'est qu'à certains moments c'est mal géré. dans la première partie déjà , il est évident qu'on ne peut explorer chaque île qu'une fois mais ce n'est pas dit. Ensuite par contre, lorsqu'on a clairement le choix de revenir sur vos pas, on a l'impression que l'auteur a oublié des cas de figur où on se retrouve à devoir refaire des trucs qu'on ne devrait pas avoir à refaire.

J'ai eu un sentiment mitigé au début sur cet aspect du Fléau de Titan. Mais on au final, ça évite les PFA et ça donne un pseudo sentiment de liberté. Après effectivement il aurait fallu que l'auteur intègre les éventuels retours dans son récit.

Oui alnaro, ça a des avantages, surtout si on considère que le lectorat d'aujourd'hui a peut-être moins de temps à y consacrer. Le livre se finit plus vite puisqu'en général on ne recommence pas dès le début (même si il faut à peu près tout explorer). Par contre ça enlève de la tension je trouve, et ça casse la narration. On est plus dans un jeu video (la spécialité de Pratchett) mais la conséquence c'est que la spécificité du livre et de la narration se perd. Pour moi c'est ce qui fait qu'un ldvelh est unique.
A certains moments j'avais l'impression d'être dans Monkey Island sauf qu'avec un bouquin tu ne peux pas gérer aussi finement les aller-retour vers un personnage.

gynogege a écrit:

la conséquence c'est que la spécificité du livre et de la narration se perd. Pour moi c'est ce qui fait qu'un ldvelh est unique.

La fameuse convergence des chemins. C'est pas l'endroit pour discuter de ça mais juste pour être fixé : du coup, tu n'es pas fan des séries comme Fabled Lands ou Épouvante ! ?

Fabled Lans je n'ai pas essayé. Epouvante je ne m'en souviens plus trop mais si j'aimais bien. C'est juste pas le même sentiment. Et j'ai quand même mis 17/20 au Pratchett !

J'ai le même sentiment que gyno sur la trop grande liberté de mouvement dans un LDVELH. Je n'aime pas vraiment car ça enlève l'importance des choix, l'essence ludique même d'un LDVELH pour ma part.

Pour Fabled Lands c'est différent. C'est un livre-meta, on sait dès le départ que l'intérêt n'est pas dans le scénario mais dans l'exploration et la gestion. Dans son genre c'est très bon.
Mais je n'aime pas quand un LDVELH commence de manière traditionnelle mais qu'on se retrouve ensuite avec ces déambulations libres.

17 c'est top. Je vais y réfléchir. Merci pour la critique.