38- L'élu des six clans

Un DF plutôt méconnu, je dirai qu'il y a pire et mieux, ça reste tout de même un opus moyen, qui aurait pu être bien mieux exploité. Le gros défaut de ce livre c'est sa succession d'embûches et d'épreuves qui vont crescendo dans la difficulté voir l'impossible.
On a aussi vraiment du mal à s'imprégner de ce bouquin, et l'immersion dans l'aventure est plus que difficile, c'est dommage car à la base il y avait de bonnes idées, notamment bien sur le fait d'être empoisonné dès le début. Avec cet empoisonnement progressif auquel on doit trouver un antidote, seulement on aura du mal au cours de l'aventure d'en mourir vraiment.
On ne le ressent pas vraiment et on en souffre très peu, c'était pourtant un bon postulat de base, l'inquiétude n'est pas assez marquée dans la narration sur ce sujet, c'est dommage.
L'ambiance n'est donc pas vraiment présente, on passe d'un paysage à un autre, comme on passe d'un plat à un autre, sans grandes descriptions, un autre point négatif.
Pas spécialement de moment exaltants non plus, du coté positif c'est un livre avec des paysages variés, il y a beaucoup de combats, les rencontres avec les tueurs Mamliks sont plutôt efficaces, les épreuves des clans apportent un peu de péripéties sans être vraiment marquantes, le bouquin n'est pas linéaire, enfin les illustrations de McKenna sont plutôt bonnes.
Ca reste donc un DF moyen sans être mauvais, mal exploité et pas assez prenant, mais pas inintéressant, le background était pourtant sympathique.

Note : 11/20

Ce n’est pas une sinécure d’être un élu de Segrek. Pour pouvoir accéder au trône il va falloir le mérité. D’abord car étant empoisonné le temps joue contre nous. Le moindre effort peut faire augmenter l’étalement du poison dans la corps. La répartition visualisé sur une silhouette est pas mal géré. Et autant dire qu’il ne restera plus beaucoup de case blanche en fin d’aventure. Nous sommes assez libre de nos mouvements et plusieurs chemins mènent à la victoire. Parmi les évènements marquant nous retrouvons Astragal le sorcier des gouffres de la cruauté et bien sur nous découvrons le charme des ordalies et des labyrinthes pour récupérer les médaillons. Mais en dehors de ces passages tres peu de faits exceptionnel.

Points Positifs
-Les labyrinthes
-Un bon développement de la culture du pays.

Points Négatifs
-Trop de choix de direction sans renseignement.
-Les illustrations

12/20

Le postulat de départ est plus qu'original : on se retrouve empoisonné et il nous faut trouver au plus vite l'antidote. Une terrible et angoissante course contre la montre commence, le poison gagne du terrain, la sueur perle à votre front, votre coeur s'affole... Et ben non...
Aucune sensation d'angoisse, de peur ou de panique... Le héros est empoisonné, mais il donne l'impression d'être aussi en forme que Docteur Feelgood... Une ballade peu linéaire, il est vrai, à travers des paysages variés, mais où on pourrait s'arrêter pour faire un bouquet pour la fête des mères, vu qu'il ne se passe pas grand chose de marquant...
Bref, ce bouquin est comme le type sur la couverture : bancal, et il va finir pas se casser la gueule.
09/20

Luke Sharp est de retour pour ce 38ème livre de la série Défis Fantastiques. Il nous avait quittés en nous laissant « Les Gouffres de la Cruauté », un livre qui était plutôt pas mal mais qui possédait quand même quelques défauts gênants. Enfin, là n'est plus la question. Ici, je vais critiquer « L'Élu des Six Clans », livre plutôt rare car très peu édité et sûrement peu lu. L'histoire est plutôt originale et intéressante. En effet, le Seigneur du Royaume est mort, et c'est à ses élus (dont le héros fait parti) de gouverner. Bien entendu, une seule personne pourra prendre possession du trône. Chacun des élus devra partir d'un lieu pour arriver à la capitale. Mais pour cela, il devra trouver plusieurs médaillons se trouvant dans différents labyrinthes éparpillés aux quatre coins dudit Royaume. Sur le papier, l'idée est vraiment bonne, comme celle du début où le héros que nous incarnons se fait empoisonner. Bien sûr, qui dit poison, dit mort latente. Le héros sera guéri seulement s'il rejoint la forteresse de la capitale. Mais avant ça, tout effort (combats, escalades, etc.) accéléra l'effet du poison dans notre organisme. Sur la feuille d'aventure, une silhouette entrecoupée de 24 cases – qui se remplira au fur et à mesure que le poison se répand dans votre corps- est dessinée. Si les 24 cases sont cochées, l'aventurier meurt et la mission est terminée. Donc c'est à vous de prendre les bonnes décisions et de prendre part aux combats ou non. Et des combats, il y en a. Après deux essais et plusieurs ennemis combattus au cours de mes deux aventures, je m'en suis toujours sorti. Donc à part si vous tuez tout ce qui bouge, il y a peu de chance que vous mourriez du poison. Le style écrit est correct et les illustrations sont belles (Martin McKenna oblige). Les lieux traversés sont variés (forêt, collines, plaines, labyrinthes, villages, villes, etc) et les chemins sont diversifiés (c'est en tout cas loin d'être linéaire). Dernière chose, nous rencontrons un sorcier nommé Astragal que nous recroiserons dans d'autres tomes du même auteur. Pour ce qui est du négatif, les idées originales sont un peu sous-exploitées. Je me réjouissais de me frotter aux créatures et au danger de chaque labyrinthe, et d'admirer leur structure différente respective, mais j'ai été fortement déçu. Car en fait, vous visitez un labyrinthe, vous en ressortez avec le médaillon, et à ce moment-là, on vous dit que tous les autres médaillons ont été volés ! J'vous dis pas que tous les bons moments que j'avais espérés sont tombés à l'eau… Je disais que le style écrit était bon, mais moins la narration. J'ai eu l'impression, certaines fois, qu'on sautait du coq-à-l'âne. On avance dans une forêt pour se retrouver, le paragraphe suivant, sur une colline. Peut-être que j'ai mal lu, mais c'est l'impression que j'ai eue. En plus de ça, le voyage jusqu'à la capitale m'a paru monotone et peu palpitant. Il y a bien eu quelques rencontres et événements ça et là, mais rien de bien folichon. Donc vous n'allez pas être étonnés si je vous dis que je n'ai retenu aucun passage du livre lors de sa fermeture. Et je trouve regrettable le manque d'ambiance global du livre alors que le début était plutôt prometteur (d’autant plus que l'ambiance était le point fort des « Gouffres de la Cruauté »). Pour terminer cette critique, moi qui m'attendais à un beau duel de fin contre le sorcier félon, j'ai été plus que déçu. C'est une fin plutôt rapide et bâclée.

En résumé, un livre ayant un bon potentiel de scénario et des idées originales et possédant de belles illustrations, mais qui est un peu gâché par le manque d'ambiance, par la fin un peu bâclée et par son voyage peu attrayant.

Note : 14/20

Un DF ou le heros doit aller assez vite en besogne pour ne pas succomber au poison. Le bemol c'est que si vous ne faites pas n'importe quoi c 'est assez facile de ne pas mourir (a la fin j'avais du cocher a peine la moitié des cases)
Les illustrations sont pas mal et l'ambiance plutot bonne mais l'aventure n'est pas si palpitante que cela.

Un DF moyen

Note : 13/20

Quoi dire qui n'ai pas deja ete dit. Il y a vraiment consensus sur ce DF et je vais suivre ici l'opinion de la masse. Quoique je ne dirais meme pas qu'il est moyen mais plutot carrement mauvais. En effet aucune ambiance, presque pas de situations interessantes ou memorables, la majorite des paragraphes se terminent par un choix entre gauche ou droite (et pas necessairement parce que vous etes dans un labyrinthe..), et on ne pourra vraiment pas dire de Sharp qu'il s'attarde sur les descriptions ou mise en scene. Une succession de situations qui se tiennent mal comme dans les plus mauvais DF.  J'ai quand meme trouver que ca s'ameliorait un petit peu vers la fin lorsqu'on arrive a la fortresse ou finalement il y a au moins un semblant d'ambiance...mais l'aventure se termine ensuite tres vite.

Perso, l'idee d'empoisennement est en plein le genre de truc que je n'aime pas dans un LDVELH, a savoir la course contre la montre. Quoique...dans ce livre il ne s'agit pas tellement de se presser mais plutot d'eviter les blessures... En effet je saisi assez mal pourquoi la plupart du temps le poison se repand plus rapidement lorsqu'on est blesser (notre rhythme cardiaque s'accelere repdnant le poison dans notre corps plus rapidement?). Il faudra donc surtout pour ne pas etre empoisonner avan la fin, eviter de se battre ou de se peter un orteil contre un coin de table. C'est meme assez illogique...dans un paragraphe le poison se repandra plus rapidement parce que vous avez disons recu une ou deux pierres en plein visage, puis dans la scene suivante votre perso prendra un repos de plusieures heures sans bonne raison sans pour autant que ca affecte son niveau d'empoisonnement... Peut-etre Sharp aurait-il du faire quelque recherches de base sur les poisons...

Enfin, malgre cette facheuse epee de damocles... ce DF est tres facile. Ou du moins en tout cas, je l'ai fait du premier coup ce qui est assez rare (ce qui m'amene a la conclusion qu'il ne doit pas y avoir beaucoup de paragraphes de morts instantanees ce qui est quand meme positif a mon avis). Je l'ai fini apres seulement une demi douzaine de combats, aucun ennemi vraiment difficile. L'auteur aime par contre pas mal les epreuves, mais pas celles classique d'habilete ou de chance (en fait je n'ai fait aucune epreuve de ce genre) mas plutot des trucs inventer, style lancez le de deux fois, si le deuxieme chiffre est le meme que le premier vous etes blesser, truc du genre. Aussi, peut-etre par souci de faire un peu original, il nous privera meme de la satisfaction d'un combat final contre le mechant de service. Quoique...je n'ai pas detester le paragraphe final ou il faut un peut agir a l'encontre de notre instinct guerrier...  Peut-etre en fait la seule scene un peu plus memorable du livre..

Enfin bref, un Df pas tres inspirant qui semble avoi ete pondu a la va-vite, question de sortir un nouveau volume.

8/20

Comme le disait Jean-Yves Lafesse, L'Elan des Six Culs est un Défion Fantastique plutôt chiant qui ne restera pas dans les annales.
Déjà, sa couverture nous montre la jeunesse de J-M Le Pen en vacance en train de faire du ski nautique sur un lac autrichien, tout en fouettant ses deux tigresses, Greta et Frieda : y en a au moins un qui s'amuse. Ce qui n'a pas été mon cas en tant que lecteur, hélas.

Ce DF a quelques points positifs :
- le scénar de base change un peu
- le cadre aussi avec ses steppes mongoles
- la volonté anti-OTP de proposer des chemins alternatifs pour accéder à la victoire : un très bon point
- l'introduction du poison ...
... hélas ce poison qui comporte 24 cases ne sert quasiment à rien. Et pourquoi cocher 24 cases de poison quand on nous demande 9 fois sur 10 de cocher 2 cases à la fois, ah ah ah !

Côté points négatifs, je ne vais pas l'épargner :
- le style est mauvais, voir très mauvais : des descriptions sommaires très courtes, ou encore de très mauvais raccords entre § qui vous font revenir en arrière pour vérifier l'enchaînement. C'est peu digne d'un écrivain "pro".
- Gros manque d'ambiance et de péripéties intéressantes
- L'auteur place un combat tous les 4 § en moyenne : cette multiplication de combats insipides et faciles n'apporte rien.
- Les labyrinthes où récupérer les médailles sont nuls et sans intérêt, du genre 12 cases à visiter au pifomètre l'une après l'autre. Pire, pour certain, c'est le hasard pur avec l'intervention des dés qui déterminera ou non l'obtention du médaillon.
- mauvaise gestion des jets de dés et du hasard avec certains PFA.
- Côté difficulté, c'est faisable, mais il y a un combat très très dur qu'on ne peut éviter QUE si on a choisi la bonne potion alchimique au pifomètre.
- Bestiaire assez nul

Vous ne me croyez pas quand je dis que le bestiaire est nul ?
Je vous donne un exemple avec un §, qui pour une fois était long.
Dans un labyrinthe on arrive à un § où on nous dit qu'on rencontre un nain qui nous dit qu'il n'est pas assez fort pour ouvrir une porte (bof bof). L'auteur ne nous donne pas le choix, on n'est toujours dans le même § : il nous dit qu'on accepte de l'aider et qu'au moment où on ouvre cette porte, ce nain se transforme en monstre pour nous attaquer par derrière : il s'agit d'une Taupe des Oubliettes.
Mais quel est l'intérêt de mettre un changeforme sans possibilité de lui faire confiance ou pas ?
Si c'était pour avoir un combat dans un §, pas besoin de stratagème de transformation : on balance le monstre et puis c'est tout.
Et puis la Taupe des Oubliettes qui se métamorphose en nain et qui parle l'humain, je pense que Luke Sharp a fumé de l'herbe de son jardin : il a vu une taupe sortir près d'un nain de jardin, a fait l'association d'idée, et voilà ...

Bref : de bonnes idées, mais réalisation bâclée, mauvais style et manque d'ambiance

Note : 4/20

Bon ben voilà, j’ai torché l’Elu des Six clans

Déjà, ça commençait mal avec Astragal (une maladie étoilée) qui nous envoie en mission. La dernière fois, c’était aux Gouffres de la cruauté (de m’avoir fait subir cette lecture), donc là je le sentais pas trop.
Alors, oui, d’accord, on commence empoisonné, et là, comme souvent quand on  a  un bobo,  on se dit :

Astragal, c’est un  mage de type Rincevent avec  le pouvoir de faire des trous en losange dans ses chaussettes ?  Même pas un petit sortilège de guérison, une crème anti-mycoses, non rien ?

Bon, avec le recul, par contre, on lui rend justice  à Astragal,  il est juste économe et visionnaire.
Il a scanné la blessure avec ses pouvoirs biomagiques, il a compris que c’était du bluff… l’assassin était en fait arrivé à la bourre au briefing pour tuer l’Elu, et du coup, et y’avait plus de poison dans la marmite quand il a plongé sa dague. Alors il est allé acheter un peu de sirop de menthe à l’épicier du coin,  pour faire style genre..  Et en effet, on a beau faire des cabrioles, se fatiguer lors de combats éprouvants, se prendre des temples en ruine sur la tête, on est frais comme un gardon.  Le poison, pardon le diabolo mortel a beau nous recouvrir trois quart du corps, on est toujours partant pour battre Usain Bolt aux 100m
Si la gueule de bois pouvait être aussi lente à débarquer quand on se murge, je peux vous dire que je passerais plus de temps au comptoir !

Bon, sinon ce qui frappe, c’est que Luke Sharp en fait, c’est un nom d’emprunt. Le gars a fui l’ex URSS et s’est réfugié à l’Ouest, mais se nomme en réalité Lukeï  Sharpizine . Il est tatar,  turc ou  khirgize comme l’atteste sa passion dans les gouffres et ici pour les mots en « uruz » « ugut » « knu » « rgiz ». Je pense qu’au début il voulait intituler son premier livre « le Cosaque des Etoiles »

Sinon, sur le livre, bon, y’a rien à dire : des paragraphes riches comme le PIB du Timor  occidental,  des combats à la pelle avec des « first, second, third  …. » (mettez ce que vous voulez comme monstres basiques), des choix ridicules…

Et puis bon, y’a  le  méchant vizir. Le genre qui impressionne moins qu'un baril de lessive. Ok, ses assassins sont nombreux, mais à part ça, il a le charisme d’une moule marinière.
Il réussit l’exploit d’être insignifiant, plus naïf qu’un corbeau à fromage, et de nous sortir les derniers mots les plus pitoyables de l’histoire de la fiction littéraire

Spoiler:

Bref,  
Intérêt : 05/20 (pour le dépaysement caucasien)
Difficulté : 30%

Faire court.

Luke Sharp est un simple fan, pas un écrivain. Descriptions inexistantes, passage du coq à l'âne permanent.  Dommage car l'idée de départ est plutôt originale: un concours pour devenir roi des Mongols.
Young McKenna me sait pas encore dessiner, plein de pompages (amateurs) d'autres illustrateurs.

4/20

L'Elu des Six Clans est un livre que j'avais lu une fois dans mon adolescence, et il me tardais de le relire, mais impossible de l'acquérir. C'est chose faite depuis Noël, cool, je me lance avec avidité dans ce bouquin que j'ai réussi à ma seconde tentative.
Je reste clairement sur ma faim, essentiellement parce que la narration est très médiocre, ça aurait mérité quelques cours auprès de Gildas Sagot pour Luke Sharp, on passe du coq à l’âne en 2 lignes, pas de transition et donc l'ambiance en prend un sacré coup.
Sans parler qu'il est compliqué d'acquérir un médaillon (j'ai du aller voir la solution sur le paragraphe 400 pour savoir comment on en obtenait 2), perso j'ai fait 2 labyrinthes. Le second notamment celui avec les cases et le labyrinthe du hasard et paf, j'arrive au bout après 15 min de lecture et de combat, pour m'entendre dire que "le sort n'a pas été favorable" sans aucune explication!!!! Je trouve l'auteur un tantinet sadique pour le coup.
Le boss de fin n'a que peu de charisme, moi qui m'attendais à un beau duel, heureusement les illustrations relèvent le niveau.
Ma note finale sera donc influencée par l'attente suscitée par ce livre et le fait que j'ai réussi à chevaucher les tigres de la couverture mais dans l'ensemble c’est juste passable

11/20

Je considère ce livre comme le plus mauvais des DF.

L'auteur a voulu faire un anti-OTP, tout choix différent fait à un moment modifie le reste de l'aventure.
Mais l'histoire perd toute sa profondeur, les descriptions sont trop courtes, on arrive très vite à la fin de l'aventure avec un sentiment d'inachevé.

Un vrai massacre.

02/20

Très certainement pas le plus fameux des DF mais un opus que je trouve très intéressant. Comme pour Les Gouffres de la Cruauté, Luke Sharpe dessine un contexte riche avec la description du Kazan et les épreuves permettant de désigner l'Elu. Les dessins de Mc Kenna ajoutent également à l'atmosphère du livre, et le score de POISON met une pointe de tension, qui manque par ailleurs.
Mis à part des jets de dés complètement absurdes, dont Luke Sharpe -comme Robin Waterfield- est coutumier et qu'il va donc vous falloir ignorer pour ne pas vous arracher les cheveux, le challenge est tout à fait raisonnable. Les statistiques de combat ne sont pas délirantes et on peut réussir -comme moi- sans avoir trouvé aucun talisman ! Il y a donc certainement beaucoup de péripéties qui m'ont échappé. Au final l'ambiance est tout de même irrégulière, on a trop de choix gauche-droite sans aucune indication et il est probable que l'aventure méritait 600 paragraphes pour donner sa pleine mesure.
Malgré tout, ce voyage est selon moi loin d'être désagréable, même si on se dit que Luke Sharpe est malheureusement passé à côté d'un truc vraiment bon.

13/20