ET L'AMITIE, BORDEL !

Un topic un peu léger pour parler des associations ou relations d'amitié entre le héros et certains PNJ.
Par exemple, dans les DF, YAZTROMO devient un personnage récurrent, dont on devient l'ami.
Notre brave LS se fait pas mal de compagnons d'armes (même si beaucoup claquent en cours de route...) et certains PNJ deviennent des amis : BANEDON, RIMOAH...
Pour "la voie du tigre", on retrouve GLAIVAS, DORE LE JEUNE... au fil des livres.
Dans Sorcellerie, on retrouve MARMOUSCULE.
Bref, vous aimez pouvoir nouer des amitiés dans vos aventures ? Vous aimez retrouver des PNJ déjà croisés dans les bouquins précédents ?
De manière générale, y a t'il une association, une équipe formée avec un PNJ qui vous a marqué ? Ou préférez-vous les aventures solitaires ?

Pour moi, je me rapelle avoir été dégoûté par la mort de THROM, dans "le labyrinthe de la mort". Même si je savais qu'il ne pouvait y avoir qu'un vainqueur, devoir le combattre et le tuer m'avait attristé.
Pareil pour "les grottes de Kalte" avec la mort des trois guides.
Perso, je trouve sympa dans "la voie du tigre" de retrouver GLAIVAS et d'autres lorsque l'on revient à IRSMUN pour récupérer son trône.
Il y a pas beaucoup de LDVH où l'on peut incarner un groupe d'amis. J'avais aimé les aventures du monde de DORGAN où l'on formait une "communauté" avec des aventuriers déjà rencontrés.
Pour les DF, "la crypte du sorcier" (si nul par ailleurs...) propose une relation sympa avec le chasseur SYMM et le nain BORRI.
Sans oublier les LDVH où l'on est accompagné par plusieurs ("défis sanglants... avec un équipage, "les sombres cohortes" où l'on gére une armée)...
Alors ? Solitaire ou un peu de compagnie amicale ?

Personnellement c'est clair, je préfère les aventures en solitaire, un guide ou un conseiller au début comme pour Yastromo ok, pour avoir d'avantage d'objets pour sa quête au début de l'aventure, mais sinon niet.
Le ldvelh reste pour moi une aventure en solitaire ou on est seul, seul face a ses adversaires, une aventure accompagnée pas vraiment mon truc.
Par contre on peut rencontrer une compagnie amicale de temps en temps au fil de l'aventure, mais je pense qu'un véritable héros et aventurier se doit de rester seul.
Il y a quelque exceptions sympathique comme défis sanglants ou comme les sombres cohortes, mais ce sont justement des exceptions, je reste donc sur le fait que je préfère et de loin une aventure en solitaire.

Ah tiens, je te voyais pas comme ça...
Perso, j'aime bien avoir un bon nombre de paragraphes avec un compagnon d'armes, au sein de l'aventure. C'est sympa, parfois. Mais ça dépends du PNJ imposé.
Par exemple, dans "les entrailles de TORGAR" ou "la croisade du désespoir", les passages avec SEB JARREL ou PRARG sont sympa. Le problème de ces "associations", c'est qu'elles sont souvent interrompues par la mort du PNJ.
J'ai beau être solitaire, faire partie d'une communauté me plaît bien. Encore une fois, ça dépend des compagnons de voyage. Me taper des hobbits pendant toute une aventure, au secours !

hummm, si le personnage est accompagné par une belle femme pourquoi pas...............mais sinon je préfère quand c'est solo.............

perso je préfère en général être en solo

toutefois, j'aime aussi, parfois, avoir un peu de compagnie mais à deux conditions : je ne veux pas d'un boulet ( ) ni d'un plus fort que moi ( ) !!!

Moi c'est plutôt l'exemple de La Sorcière des Glaces avec l'évasion en compagnie de l'Elfe et du Nain qui m'avait marqué. Companions d'esclavage, ça créé "d'autres" liens...

J'ai bien avoir de la compagnie, surtout si une relation s'installe sur plusieurs volumes (Banedon, Prarg ). Mais avant de m'attacher j'attend que le personnage revienne vraiment.

J'apprecie aussi le PNJ jettable pour l'ambiance qu'il apporte
(comme je suis cruel, jettable c'est moche mais tellement vrai).

Ca me fait penser aux episodes de star treck ou le mec pas de nom au debut de l'episode disparaissait dans les 5 premieres minutes (fallait bien une victime).

j'aime bien avois compagnon s'il a une vrai personnalité et qu'il n'est pas juste une coquille vide.

Les deux ne me dérangent pas.
Mais il est vrai qu'il est plus glorifiant de déjouer seul les pièges que l'auteur mais sur notre chemin, sans l'aide d'un quelconque pnj.

Ceci dit être accompagné ne me déplait pas et en règle générale, je joue différemment quand mon perso est seul que quand il y a du monde avec lui. J'ai adoré être accompagné des trois guides dans Les Grottes de Kalte. Leur présence nous oblige à rester vigilant. Je voulais vraiment les amener jusqu'à la fin de l'aventure mais quand j'ai compris que Joe Dever nous laisserait impitoyablement finir la mission seul, j'ai cherché avant même de finir le bouquin, le chemin où aucun des guides ne mourrait !

Un peu de compagnie n'est pas désagréable, je dirais même que cela ajoute au réalisme (impossible de m'échapper dans Les Collines Maléfiques)! Néanmoins, les Gamebooks restent des aventures en solo!

Le LDVH où je me suis cependant senti le plus isolé, c'est Le Talisman de la Mort car le lecteur sait qu'il n'appartient pas au monde d'Orbus! Et comme le texte le dit si bien au 1, nous sommes seuls et sans allié!

Marmouscule :dwarf:

Je suis comme ORION : attristé de devoir perdre mes guides dans "les grottes de KALTE". Dans "le voyage de la pierre de lune", on passe un bon moment également avec les trois marins rescapés de la bataille navale... et la belle ORHIA... que l'on retrouve dans le volume suivant.
Sinon, "l'île du roi lézard" m'avait surpris avec le pauvre MONGO qui se fait zigouiller dés le début...
Quand aux PNJ récurrents (dans LS surtout), je trouve ça sympa, ça renforce le côté saga, personnage qui évolue au fil du temps.

La mort de Mongo est pour moi la perte la plus triste des ldvelhs, c'est vraiment la seule fois ou j'étais déçu à la mort d'un compagnon.
Sinon le seul moment ou j'aime bien ne pas être seul, c'est quand on a soit une armée soit un équipage, comme je l'ai déjà dit plus haut, mais le principe de compagnon non, je suis trop solitaire pour ce genre de quête.

Il me semble bien que dans les Grottes de Kalte, il y a un chemin ou les guides (ou au moins 2 sur 3) ne meurent pas. On est separe d'eux, on ne sait pas ce qu'ils deviennent, mais il n'est nullement precise qu'ils meurent.

C'est vrai. Si je me rapelle bien, on tombe dans une crevasse et on se retrouve dans les fameuses grottes.
Je crois qu'on apelle ses guides pendant quelques minutes, avant de réaliser que c'est inutile et de continuer tout seul.
A vérifier...
Autrement, comme l'a dit WARLOCK, il y a les LDVH où l'on commande des troupes.
A ce sujet, j'avais adoré diriger une escouade de soldats dans "le gouffre maudit".
Une anecdote un peu triste : dans "les sombres cohortes", on peut recruter "MAX", une belle guerrière et son groupe de mercenaires. Dans la bataille finale, on doit faire un jet de dés. Suivant le résultat, on est sauvé d'un projectile par un de nos hommes qui nous pousse sur le côté. Suivant l'autre résultat, c'est la guerrière qui nous sauve... mais qui est tuée par le projectile à notre place !
A l'époque, c'est ce qui m'est arrivé, et j'avais trouvé ça dégueulasse !

Oui, je confirme il y a bien un chemin où les guides ne meurent pas. Il faut que LS chute dans une crevasse comme la souligné VS.

La série Les Messagers du Temps comporte aussi son lot d'amis, dotés d'une personnalité et qui par ailleurs survivent à l'aventure : le susceptible Furios le Court dans Le Carillon de la Mort ou le misogyne John Bob de Golf dans Objectif Apocalypse. (Il y en a aussi passablement dans Le Masque de Sang mais je n'ai plus leur nom en tête.)

D'une façon générale, cette série propose généralement des PNJ assez détaillés, qu'ils soient bons ou méchants d'ailleurs.

Warlock a écrit:

La mort de Mongo est pour moi la perte la plus triste des ldvelhs, c'est vraiment la seule fois ou j'étais déçu à la mort d'un compagnon.
Sinon le seul moment ou j'aime bien ne pas être seul, c'est quand on a soit une armée soit un équipage, comme je l'ai déjà dit plus haut, mais le principe de compagnon non, je suis trop solitaire pour ce genre de quête.

Idem pour moi, je trouve qu'après la belle introduction et l'esprit tropical, la perte de ce compagnon en fait de L'île du roi Lézard l'un des meilleurs ldvelh, ou du moins l'un des plus mémorable.

Perso j'aime bien les compagnon passager, qui nous confirme qu'on est un aventurier solitaire, mais avec des frères d'armes qui vont et qui viennent.

J'avais bien aimé le compagnon du barbare (j'oublis son nom) dans Le labyrinthe de la mort. On sent vraiment le côté perfide du méchant lorsqu'il nous force à combattre notre ami drogué et complètement zombi.

Le Manoir de l'Enfer est certainement le gamebook où l'on aimerait le plus se faire des amis: or, les deux alliés qu'on rencontre (le prisonnier ou l'homme aux cheveux gris) ne sont que des rencontes fortuites dont on sait qu'elles ne seront qu'éphémères et sans suite, malheureusement!

Marmousule :dwarf:

le barbare c'est Throm tres bon passage.

Pour le manoir de l'enfer il me semble que si on trouve un des alliés possible (l'homme a la toge grise) on perd l'aventure quoi qu'on fasse apres.

Dans de rares livres ont a parfois durant un laps de temps plus ou moins long un compagnon de route (comme dans le sceptre noir ou on se lie avec une mangouste )

Moi je trouve cela sympa, même si c'est souvent frustrant car souvent ils partent bien trop vite ou meurrent

Spoiler:

Vous connaissez un livre ou le compagnon est encore là a la fin ?

Ma foi, il y a "LA CROISADE DU DESESPOIR", où ce bon vieux PRARG nous retrouve à la fin et nous sauve la vie sur les remparts. Chose assez rare, en général, les compagnons de route de notre brave LS crèvent rapidement... Non seulement LS a la scoumoune (dés qu'il monte sur un bateau, tu peux t'attendre à un naufrage), mais ceux qui l'accompagnent ne font pas de vieux os...
Autrement, "LA CRYPTE DU SORCIER", où BORRI et SYM nous accompagnent et nous retrouvent à la fin.

dans le chasseur de mage , tu a potentiellement ton compagnon en vie a la fin

Je veux bien être accompagné une fois ou deux pour rigoler un peu quand celui-ci se fait tuer mais je suis du genre à aimer la solitude (quoi de plus étonnant pour un mec qui reste sa vie entière devant un écran d'ordinateur et qui sort seulement pour sauver le Sommerlund) !